En Espagne, «le franquisme est mort, mais le régime a laissé des traces»
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Près de 50 ans après la mort de Franco, qui marqua la fin d'une dictature militaire, autoritaire, catholique, que certains n'hésitent pas à qualifier de fasciste, l'image de celui que l'on surnommait le « Caudillo » (« Chef ») persiste en Espagne. Une image que l'ancien dictateur avait lui-même promulguée et qui, malgré le retour à la démocratie, perdure dans ce pays qui n'a jamais réussi à définitivement l'enterrer. C'est ce que raconte Stéphane Michonneau, professeur d'histoire à l'université Paris-Est Créteil, spécialiste de l'Espagne, dans son ouvrage Franco : Le temps et la légende, paru le 10 septembre dernier aux éditions Flammarion.
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