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Page de couverture de Hors-série avec Alicia BIRR : Le langage inclusif, complexité inutile ou véritable outil d'inclusion ?

Hors-série avec Alicia BIRR : Le langage inclusif, complexité inutile ou véritable outil d'inclusion ?

Hors-série avec Alicia BIRR : Le langage inclusif, complexité inutile ou véritable outil d'inclusion ?

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À propos de cet audio

Langage inclusif et écriture inclusive : deux expressions qui déclenchent souvent des débats houleux…
Mais sait-on vraiment ce qu’elles recouvrent ? Et surtout, quel rôle peuvent-elles jouer quand il s’agit de prendre la parole en public ?

Dans cet épisode, je reçois Alicia Birr, formatrice, conférencière et spécialiste du sujet. Avec elle, nous allons bien au-delà des clichés autour du point médian pour explorer le langage inclusif comme une véritable boîte à outils au service de vos prises de parole.

👉 Qu’est-ce que cela veut dire, concrètement, prendre la parole en mode inclusif ?
👉 Comment éviter d’invisibiliser certaines personnes sans pour autant alourdir son discours ?
👉 En quoi le choix des mots peut-il contribuer à plus d’inclusion et de précision dans vos présentations à l'oral ?

Au fil de notre échange, Alicia montre comment le langage n’est jamais neutre. Selon les mots choisis, on peut perpétuer des stéréotypes… ou au contraire inclure et empuissancer celles et ceux qui nous écoutent.

Les femmes, par exemple, sont encore trop souvent effacées des représentations par l’usage du masculin générique. Et pourtant, les études scientifiques le prouvent : employer des formulations inclusives change concrètement les perceptions et les comportements. Un détail ? Pas vraiment. Dans le recrutement, par exemple, passer d’une annonce rédigée au masculin à une annonce qui prend soin d’écrire en inclusif peut tripler le nombre de candidatures féminines.

L’entretien aborde aussi le mimétisme : quand une personne dans une réunion choisit un vocabulaire plus inclusif (« les clients et les clientes », « les passagers et les passagères »), cela crée un effet d’entraînement. Petit à petit, les autres reprennent ces formulations et un nouveau réflexe collectif s’installe.

Et pour toutes celles qui redoutent la complexité, Alicia rappelle une vérité simple : pratiquer le langage inclusif, ce n’est pas apprendre une langue étrangère. C’est plutôt réapprendre à regarder ses textes ou ses discours, à repérer les masculins génériques, à chercher des alternatives plus précises et plus justes.

Enfin, vous entendrez comment le langage, loin d’être un détail esthétique, peut devenir une vraie ressource pour renforcer sa confiance en soi. Préparer et écrire en inclusif, répéter ses doublets, travailler son adresse (« bonjour à toutes et à tous »), ça permet de donner plus d'impact à chaque prise de parole en public.

En savoir plus sur la mission d'Alicia BIRR :
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🎁 En bonus pour nos auditrices : la checklist des 10 incontournables de la prise de parole à enjeu à télécharger par ici : https://marielle-lieberclaire-coach.systeme.io/10-incontournables


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