Page de couverture de Le paradoxe des journalistes 5/5: «Le plus beau métier du monde»

Le paradoxe des journalistes 5/5: «Le plus beau métier du monde»

Le paradoxe des journalistes 5/5: «Le plus beau métier du monde»

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Si les journalistes n’enquêtent pas sur eux-mêmes, qui le fera ? Dans cet épisode 5 d’Injustices, Clara Garnier-Amouroux interviewe Lénaïg Bredoux (Mediapart), Denis Ruellan (sociologue au Celsa) et Alice Coffin (journaliste indépendante) et comprend que le journalisme n’a, a priori, pas de garde-fou. Il fonctionne sans commission ni conseil de l’ordre. Comme les professeur.e.s et les prêtres, les journalistes sont, selon Denis Ruellan, ce qu’on appelle des “directeurs de conscience”. Et il est très difficile, quand on a ce statut social, et qu’on est perçus comme plus capables que d’autres de distinguer le bien du mal, de se regarder dans le miroir et d'admettre ses failles, ses erreurs.

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