Résultats Éditeur "Voolume" dans Histoire

Depuis des siècles, on nous dit que l'espèce humaine est naturellement monogame, que Mme Cro-Magnon, en peau de bête, avait avidement besoin pour sa survie de la protection d'un seul et unique chasseur (le plus puissant, évidemment !) en échange de sa fertilité tant convoitée et de sa fidélité éternelle. Et si Darwin s'était trompé ? Et si nos chers ancêtres préhistoriques nous révélaient enfin la vérité sur notre sexualité humaine ?

De la reine Victoria à la disparition du prince Philip en passant par la naissance de l'héritier George et la crise du "Megxit", le roman vrai d'une famille extraordinaire, aux prises avec le tragique de l'histoire comme avec les drames intimes. Dans leurs bonheurs comme dans leurs malheurs, ils continuent de nous fasciner par un unique mélange de traditions et d'audaces. Windsor ? Une passionnante saga britannique.

L'apparition et le développement des hérésies dès les premiers temps de l'Eglise Catholique la contraignirent, concile après concile, à mieux définir sa doctrine. Elle parvint à contenir l'hérésie jusqu'à l'an mil, date qui marque son grand réveil dans toute l'Europe. En Rhénanie et dans le midi de la France, entre Toulouse, Albi et Carcassonne se développèrent notamment des communautés hérétiques Cathares. L'église catholique ne put tolérer longtemps cette remise en question de son autorité spirituelle et temporelle.

"L'Art de la guerre" de Sun Tzu offre bien plus que des recommandations pour l'action. Il donne les clés qui permettent "d'édifier la configuration victorieuse". Il décrit un état d'esprit plus que des tactiques, et c'est probablement pour cela qu'il vieillit si bien et continue à connaître un franc succès en dépit de ses 2 500 ans. Domitille Germain, consultante et sinologue propose une lecture fine du célèbre livre de Sun Tzu.

UN LIVRE HORS DU COMMUN. Combattre, c'est évoluer pendant quelques instants dans un monde régi par ses propres lois. En sortir vivant, c'est se réveiller épuisé, brisé ou exalté, mais toujours transformé. Pour comprendre cette vie près de la mort, Michel Goya nous confronte à l'expérience sous le feu : décider, risquer sa vie, tuer. Sous le feu est une description précise de la manière dont les hommes, individuellement et collectivement, se conduisent en situation de danger extrême.

Eldorado : quel nom, plus que celui-là, aura jamais été chargé de mystère, de convoitise, de rêves fous, quel autre mythe aura à ce point symbolisé les espérances les plus audacieuses de l'homme quand il s'agit de puissance, de gloire, de paradis perdus ? Tout commence dans une période d'effervescence sans pareille, à savoir la découverte du Nouveau Monde, et le début des grandes expéditions maritimes espagnoles et portugaises qui marquent la fin du XVème et le début du XVIe siècle.

Maria, jeune fille d'une famille polonaise noble mais démunie, a été mariée au riche Comte Walewski, de 50 ans son aîné. Son existence auprès de ce vieillard, pourtant doux et bon, est morne et sans joie. Alors que Napoléon entre en Pologne en libérateur avec ses troupes, elle lui est présentée lors d'une fête. Pour Napoléon, c'est le coup de foudre immédiat. Il n'en est rien de tel pour la jeune fille, pourtant objet des injonctions pressantes de son entourage : sa liaison avec Napoléon pourrait sauver la Pologne.

Le 15 octobre 1894, le capitaine Alfred Dreyfus, trente-cinq ans, premier officier juif jamais admis à l'état-major, est arrêté pour crime de haute trahison. Il est immédiatement mis au secret et, dès le 22 décembre, condamné à la déportation perpétuelle et à la dégradation militaire. Il est déporté quelques jours plus tard, en ayant à peine pu revoir sa femme, Lucie. Une correspondance nourrie, bien qu'entravée à de nombreuses reprises par l'administration pénitentiaire, se met en place entre Lucie et Alfred.