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La civilité nouvelle apparaît au XVème siècle, au début d'une période que les historiens ont appelée "Renaissance". Elle correspond à un idéal de culture et de sagesse désigné par le terme "humanisme". A une époque où la noblesse des cours se battait souvent à coups de poing et à coups de pieds, des philosophes ont cru bon d'instruire les jeunes princes des règles de civilité à l'honneur chez les citoyens grecs et romains de l'Antiquité.

De toute éternité, les communications à distance, les télécommunications, se sont avérées essentielles pour les humains. Selon les époques, elles ont fait appel à l'imagination ou à l'ingénierie, et toujours de manière industrieuse. Ainsi, les trompettes, les tambours, la fumée ou le langage sifflé transmettaient des messages aux populations locales bien avant l'avènement du télégraphe optique, du télex ou de la téléphonie.

Les pensées pourrîtes sont nées au fil du temps, de l’observation désespérée de nos contemporains persuadés d’être des génies, ce qui qui s’avère peu fréquent dans la réalité. Le premier risque que vous prenez en lisant ces pensées est de vous reconnaître et d’en rire jaune comme la couleur de vos yeux, un lendemain de nuit chaude.

Qui aurait cru qu'au XXIe siècle Ford se lancerait dans la fabrication des trottinettes ? Électriques, bien sûr, mais encore... Néanmoins, rien d'étonnant si l'on se rappelle que l'histoire de l'automobile est marquée par les progrès techniques, les moyens de production, les changements sociaux et même par les modes en vigueur, en plus d'être étroitement liée aux conjonctures économiques et politiques, nationales et internationales.

L'art d'aimer, selon Ovide, c'est d'abord l'art de séduire. Bien avant que les agences de rencontres et les entreprises de séduction modernes existent, Ovide prodiguait ses conseils. C'était au 1er siècle de notre ère, mais lorsqu'on l'entend dire : " Qui que tu sois, n'aie qu'une faible confiance dans les charmes trompeurs de la beauté ; ajoute d'autres avantages à ces mérites du corps. Ce qui gagne surtout les cœurs, c'est une adroite complaisance".

Pourquoi te parler de Beethoven, mort il y a plus de 200 ans? Parce que, crois-le ou non, la musique de Beethoven est toujours vivante et pas seulement dans les salles de concert.