Canadian Fiction

Après Et si c’était ça, le bonheur?, Francine Ruel fait revivre son héroïne, Olivia Lamoureux, qui, au terme de ses premières aventures, nageait en plein bonheur dans sa maison jaune , entourée de ses amis et d’un nouvel amour. Dans Maudit que le bonheur coûte cher!, voilà que la vie rattrape Olivia, avec ses hauts et ses bas.

Avec l’arrivée des jumeaux, le quotidien de Jaquelin et Marie-Thérèse se trouve de nouveau chamboulé. Même si les deux aînés poursuivent leurs études, l’une à Montréal et l’autre à Trois-Rivières, il reste tout de même six bouches à nourrir et dont il faut prendre soin. Toute une commande alors que ça ne dérougit pas à la cordonnerie et que Marie-Thérèse doit multiplier les heures pour soutenir son mari.

Frédérique Blanchet est une femme fonceuse et assumée. Photographe à ses heures, la technicienne en laboratoire rêve secrètement du jour où elle pourra vivre de sa passion. Toutefois, la peur de faire de mauvais choix la maintient malgré elle dans une réalité qui ne lui convient plus. Anthony Lemieux est un joueur de tennis professionnel qui, à la suite d’une grave blessure, a dû mettre fin à sa carrière. Depuis, il n’est plus que l’ombre de lui-même, cherchant sa place dans un monde qui ne lui apporte plus aucun plaisir.

Âgée de quinze ans et ressentant les premiers frémissements de l'adolescence, Kira réalise enfin son rêve le plus cher et devient Écuyer d'Émeraude. Accompagnant désormais les Chevaliers en mission, la princesse mauve s'émerveille devant l'immensité d'Enkidiev. Le porteur de lumière, personnage central de la prophétie, voit enfin le jour, et les Immortels doivent déployer leur adresse pour le protéger des machinations de l'Empereur Noir.

Fernand Dupré, 30 ans, fait partie de ces célibataires qui ne peuvent avoir leur dispense. Le mariage devient la seule avenue possible pour ce fils de cultivateur qui rêve de reprendre la terre paternelle, mais dont les projets seront contrecarrés par son père, peu enclin à céder ce qu’il considère comme son bien, et l’arrivée inopinée d’un frère détesté qui revient le hanter.

Nadia Doucet est devenue riche et célèbre en écrivant l'histoire de Cendrine, la fille du crématorium. Son livre ne laisse personne indifférent ; il éveille même en elle des passions malsaines et dangereuses. Elle sort tout juste d'une relation toxique, néanmoins son ex, un policier, refuse de la laisser partir. Elle n'est plus en sécurité nulle part.

C'est pas moi, je le jure?! étonne par sa fraîcheur et sa verve, par sa vision du monde de l'enfance, par son imaginaire débridé. À trente-neuf ans, soit l'âge qu'aurait aujourd'hui son petit héros, l'auteur est manifestement resté très près de ses premières années. - Marie-Claude Fortin, Voir

Une fillette hantée de souvenirs qui ne sont pas les siens. Des cauchemars, incessants, qui frappent à la même heure. Un avertissement incompris, une menace ignorée. Et le passé terrifiant, impitoyable, qui rattrape l’innocence d’Aurore. Cette réécriture moderne et terrifiante du conte de Charles Perreault est une véritable matière à cauchemars. Entre secrets, meurtres, débauche et abomination, l’horreur se redéfinit complètement encore une fois sous la plume de L.P. Sicard.

Coleman, un jeune homme constamment mêlé à des histoires louches, doit participer à un transfert d’argent entre deux groupes criminels. Les choses tournent mal: ses acolytes sont tués et la valise contenant l’argent disparaît. Coleman prend la fuite et se réfugie dans un hangar désaffecté d’une mine du Nord-du-Québec, où il est retrouvé quelques jours plus tard. La situation dégénère en prise d’otage; Coleman exige de parler à Victor Lessard, la seule personne en qui il a confiance.

À l’automne 1931, la jeune Agnès Lafrance réalise son rêve: elle sera institutrice. Cependant, à son arrivée dans le village des Laurentides où on l’a assignée, elle déchante. Rien ne se passe comme elle l’avait imaginé....

Samuel et Ariane sont amis depuis leur enfance, amoureux depuis presque aussi longtemps. Cependant, certaines décisions déchirantes peuvent ébranler la fondation d’un couple, même le plus solide. Malgré toute leur volonté, leur amour n’a pu faire oublier des blessures trop profondes. Bouleversée, Ariane a fui en Amérique du Sud, où elle a tenté tant bien que mal d’oublier Samuel.

Yoan s'occupe seul de sa fille Olivia depuis que son grand amour les a abandonnés pour retrouver sa liberté et vivre dans la rue, loin des normes sociales. Lors de leur traditionnelle soirée de distribution de repas, en cette date qui marque le triste départ de Lisa, le destin se charge de mettre Amanda sur le chemin du duo. Derrière ses apparences d'enseignante engagée, la jeune femme au passé torrentueux lutte pour garder le secret de sa propre misère.

George and Catherine Stewart share not only the burden of Catherine's heart disease, which could cause her death at any time, but the memory of Jerome Martell, her first husband and George's closest friend. Martel, a brilliant doctor passionately concerned with social justice, is presumed to have died in a Nazi prison camp. His sudden return to Montreal precipitates the central crisis of the novel.

Dans cette trilogie intitulée Le sanctuaire des Braves, le porteur de masques accepte la rude tâche de bâtir un sanctuaire où reposeront pour l'éternité tous les grands héros ayant sacrifié leur vie à la quête de l'équilibre du monde. Aidé de Béorf, son indéfectible camarade, ainsi que de ses amies Lolya, la nécromancienne, et Médousa, la gorgone, Amos aura à combattre les dangereux démons Béhémoth et Léviathan, ces derniers voulant le capturer afin de le conduire à la prison des dieux, au cœur du sombre Tartare.

Des bûcherons assoiffés d’émotions fortes. Des drogues dures qui ont remplacé le petit rhum. Un Mal que l’entendement ne peut comprendre ou une hallucination qui entremêle les pensées? Des êtres sans visages ou des têtes sans conscience? Lisez bien. Regardez bien. Là ! Est-ce le diable que vous avez vu? Hélas, ces choses de l’abîme peuvent prendre bien des visages, selon le regard qu’on leur jette.

A tour-de-force debut novel about a Two-Spirit Indigiqueer young man and proud NDN glitter princess who must reckon with his past when he returns home to his reserve. “You're gonna need a rock and a whole lotta medicine” is a mantra that Jonny Appleseed, a young Two-Spirit/Indigiqueer, repeats to himself in this vivid and utterly compelling debut novel by poet Joshua Whitehead.

Voici l'histoire de Morgane, une jeune fille de troisième secondaire, qui se voit devenir pensionnaire dans une nouvelle école. Mais Morgane est loin d'être une ado conventionnelle. Au lieu de s'apitoyer sur son sort et de crier haut et fort que la vie est injuste, elle y voit plutôt l'occasion de vivre de belles expériences. Dès la première journée, elle fera la connaissance d'Annabelle, Thomas et Eddy, des jeunes de son âge aux tempéraments uniques. Elle apprendra vite à les connaître, à les apprécier et à échanger avec eux à travers une foule de textos.

L’histoire que je vais vous raconter se déroule dans Bellechasse, ma terre natale. On est en 1931. Eva et Hormidas, mariés depuis vingt ans, sont toujours aussi amoureux. Mais pour la première fois, un frette à faire péter les clous dans les murs s’installe entre eux. L’origine de cette chicane aux proportions bibliques ? Les agissements de leur fille Aline, maladivement jalouse de sa jumelle Alice à la jambe de bois.

Entre les ennuis de santé de son père et le charme énigmatique de Dave, entre son désir d'être elle-même et la pression à laquelle elle se soumet, Élie est perdue. Elle se réfugie dans ses vieux patterns et essaie de reprendre le contrôle de sa vie, un Fat Burning Challenge à la fois. En cours de route, elle réalise qu’écouter son cœur, c’est beaucoup moins glam qu'il n'y paraît.

Publié au début du XXe siècle, ce recueil de nouvelles entraîne l’auditeur aux confins de l’âme, là où le deuil, la culpabilité et les souvenirs obsédants creusent des abîmes. Maurice Level y compose de brèves scènes tendues où un mot, un geste, un silence suffisent à faire vaciller les certitudes. Chaque récit s’attache moins aux visions qu’aux traces qu’elles laissent, révélant l’enfer intime qui ronge les vivants.