Gérer un palace de luxe : check. Supporter des frères ultra-protecteurs : check. Embaucher deux saisonniers imprévisibles : check. Résister à l'un d'eux : … À 22 ans, Sixtine jongle entre la gestion du complexe hôtelier familial et les règles imposées par ses quatre frères. Seulement tout dérape avec l'arrivée de Malone et Ziggy, deux recrues bien décidées à profiter de l'été. Entre quiproquos, maladresses et piña colada, Malone – sexy, arrogant et terriblement agaçant – sème le chaos dans le quotidien parfaitement maîtrisé de Sixtine.

"Je m'appelle Nina, j'ai 16 ans, et je reviens de l'enfer. Pendant plus d'un an, je me suis vendue à des inconnus. Mon corps, mon sexe, mon sourire, j'ai tout offert... Pour de l'argent, oui. Mais moi, je me racontais que c'était pour conquérir ce dont je rêvais depuis mes 13 ans : la liberté. Au moment où j'entreprends ce récit, je ne suis rentrée de fugue que depuis six semaines. Je ne partirai plus."

Paris s'éveille... et moi, je vais me coucher. Les nuits courtes s'accumulent, tout comme mes décisions foireuses : je n'arrive pas à garder un mec, j'ai abandonné mes études, je n'ai plus un rond... au point de jouer les pickpockets pour pouvoir payer ma part du loyer. La seule certitude dans ma vie ? Ma famille, celle que je me suis construite avec mes colocataires aux caractères bien trempés : Abi et Charlize, mes deux copines, et trois mecs carrément canon. Mais ce n'est pas parmi eux que je trouverai l'homme de ma vie : on ne touche pas aux colocs !

La nouvelle a fait le tour du monde. Mélina Roberge, une Granbyenne âgée de 22 ans, est épinglée pour trafic de drogue sur un luxueux navire de croisière alors qu'il accostait à Sydney en Australie. Deux autres Québécois, une jeune femme et un homme plus âgé, sont arrêtés au même moment par les autorités australiennes. Six ans après les faits, Mélina Roberge revient sur les événements qui ont mené à son arrestation. Dans ce livre, elle revisite les choix qu'elle a faits et l'engrenage dans lequel elle s'est laissé prendre.

« À 14 h précises, on cogne à la porte. C’est lui, la source que tout journaliste rêverait d’avoir. L’homme de courte stature est armé et dépose son pistolet sur une table. “Are you impressed ? ” me lance-t-il avec un grand sourire. “Yes. Very much.” J’ai devant moi Andrew Scoppa, l’un des confidents du défunt parrain Vito Rizzuto, trafiquant international d’héroïne, et meurtrier sans pitié. » Pour la première fois au pays, un mafieux de haut rang a brisé l’omerta en se confiant à des journalistes.