Après l’abolition de l’esclavage en 1848, la France recrute des milliers de travailleurs indiens pour les plantations de canne en Guadeloupe et en Martinique. Entre 1854 et 1889, près de 43 000 engagés débarquent, changeant à jamais le visage des Antilles. 🌍🌴
Un voyage entre espoir, déracinement et survie.

Sources :

• Pierre Singaravelou, Les Indiens de la Guadeloupe (1975).

• David Northrup, Indentured Indians in the French Antilles (article, 2000).

• Lou Kermarrec, “Le paysage végétal et les hindouismes des Antilles : la transmission des savoirs écologiques…“ (2022).

• Études ethnographiques et sources administratives (décrets de 1852, convention franco-britannique de 1861).

  Raymond DELVAL (Les Musulmans en Amérique latine

  et aux Caraïbes)

Entre Guadeloupe et Martinique, des esclaves musulmans ont tenté de préserver leur foi face à l’esclavage. Cet épisode explore leurs origines, la mémoire effacée par les maîtres, leurs résistances silencieuses… et le regard du Prophète de l'Islam ﷺ sur la dignité des esclaves, l'encouragement à l'affranchissement, l'héritage de son message universel après sa mort.

Un récit d’histoire, de spiritualité et de mémoire.

Dans cet épisode, j’aborde la spiritualité et les croyances d’origine des esclaves au moment de leur arrivée en Guadeloupe et en Martinique.
Les différentes ethnies provenant de divers pays d’Afrique ont été déporté de force sur ces îles avec leurs religions, leurs cultures, leurs noms et leurs langues, qui ont malheureusement presque entièrement disparu aujourd’hui.
Plus tard, des travailleurs indiens volontaires sont arrivés. Contrairement aux esclaves africains, la plupart d’entre eux ont conservé leurs religions, leurs noms et leurs cultures, qui perdurent encore aujourd’hui.

Mais croyance avait-ils tous ?