👉 « Et toi… tu veux des enfants ? »

Cette question n’est pas anodine. Elle n’est jamais anodine.
Elle est un révélatrice de ton niveau de solidité intérieure..

Je sais, ça va pas être plaisant à entendre mais :
👉 le problème n’est pas l’indiscrétion des autres.
👉 Le vrai problème, c’est l’endroit précis où tu n’es pas encore totalement claire avec toi-même.

Et d'ailleurs, je t'invite non pas à le voir comme un problème mais comme une zone à aller explorer. L

Car une femme solide :

• ne se justifie pas,

• ne se défend pas,

• ne s’explique pas pendant 10 minutes,

• elle sait. Point.

Je t’emmène dans une scène vécue (merci Ginette — personnage fictif, donc insultable à souhait sans risque juridique 😌) pour te montrer comment une simple question répétée peut devenir insupportable… non pas à cause de la question, mais parce que ton choix n’est pas pleinement entendu.

Dans cet épisode, tu vas découvrir :

• pourquoi certaines questions te déclenchent émotionnellement (et pourquoi ce n’est jamais un hasard),

• ce que révèle ton niveau de réaction face au regard social,

• le lien direct entre solidité, détachement et autonomie intérieure,

• pourquoi une femme alignée n’a pas besoin de répartie brillante : sa posture suffit.

Je te partage aussi un Top 5 de réponses possibles face aux “Ginettes” trop insistantes. Certaines sont radicales. D’autres élégantes. Une est clairement jouissive.
Mais je te le répète : le vrai travail n’est pas dans la réponse.

Le vrai travail, c’est cette question-là :
👉 Où est-ce que c’est encore fragile chez toi ?
👉 Où est-ce qu’on peut encore appuyer pour te faire réagir ?

J'ai pris la question de la maternité mais ça peut être ailleurs. Nous avons tous et toutes des zones plus ou moins fragiles. Cet épisode n’est pas là pour te rendre plus rapide dans la répartie.

Il est là pour t’aider à passer de la réaction à la posture.
De la justification à la souveraineté intérieure.

🎯 Si tu veux renforcer ta solidité et cesser de te laisser atteindre par les attentes sociales, cet épisode est pour toi.

Et si tu veux aller plus loin, je t’invite à t’abonner à En Roue Libres, l'infolettre décomplexée, ma newsletter sans langue de bois, où l’on travaille l’ÊTRE avant le FAIRE.

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

CET ÉPISODE NE RESPECTE AUCUNE RÈGLE. Et c’est exactement pour ça que tu vas vouloir l’écouter.

À la base, la série « 100% Solide » devait être du micro-format, 10 minutes max.
Mais voilà : quand 2 femmes qui détestent rentrer dans le rang, se retrouvent à parler de discipline, de sabotage, de dépassement, de vérité, de fragilité mentale, de constance et de courage…

Ça ne tient pas en 10 minutes. Ça déborde. Ça déborde fort.

Florence Hügi, Facilitatrice des Impossibles, hôte du podcast « Les filles de d'Olympe » et de la série quotidienne « Les bulles de Flo(w) », m’a invitée pour une conversation brute, vivante, indomptée.

Et tu vas l’entendre : on n’a rien monté. Pas de vernis. Pas de posture. Pas de filtre.
Juste 2 femmes qui ont décidé d’aller au bout d’un défi de malade : 100 épisodes en 100 jours.

On parle :

🔥 de pourquoi on s’est jetées dans ce challenge sans réfléchir (et pourquoi c’était peut-être une décision complètement débile… ou géniale),
🔥 de l’euphorie du début,
🔥 du trou noir du milieu,
🔥 du sabotage qui rôde quand on s’approche de la ligne d’arrivée,
🔥 de la pression qu’on se fout soi-même (celle qui n’existe que dans notre tête),
🔥 de la peur de finir (oui, FINIR est un sujet tabou),
🔥 de la tentation de tout abandonner,
🔥 des messages des auditrices qui nous ont ramenées à la réalité : quelqu’un nous écoute. Quelqu’un attend.
🔥 de notre rapport au regard des autres, à la discipline, à la liberté, à la structure, au vrai sens de nos podcasts,
🔥 de comment nos histoires personnelles ont façonné nos voix, nos postures, nos missions.

Et évidemment… on parle de SOLIDITÉ.

De cette solidité intérieure qui n’a rien à voir avec notre corps, nos os mais cette solidité qui se construit dans le mental, dans l’Être, dans les choix qu’on ose assumer.

Florence partage à quel point elle a dû affronter son vieux pattern de « ne rien finir ».
Je partage comment j’ai retrouvé ma propre voie au moment où je pensais avoir tout dit.
On se renvoie nos miroirs, nos forces, nos parts fragiles, nos vérités.

C’est une conversation sans maquillage.

Un épisode qui casse le rythme, casse les codes, casse le cadre.

Un épisode qui montre ce que veut dire être SOLIDE.

Si tu veux comprendre :

• pourquoi on s’acharne à tenir un défi qui ne rapporte rien (mais qui change tout),
• comment on surmonte le sabotage quand il devient créatif,
• pourquoi la fin est souvent plus dure que le début,
• et comment tu peux toi aussi t’appuyer sur ta propre solidité intérieure…

Alors cet épisode va te secouer et te donner envie d’aller au bout de tes propres engagements.
Même si tu as déjà abandonné 1 000 fois.

Allez, on t’emmène dans les coulisses du mental, du courage… et des choix qui construisent une femme solide.

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Tu crois que la modernité et le futur, c’est l’IA ?
Raté.
La modernité, c’est toi. Ton monde intérieur. C'est à dire, tout ce qui ne se voit pas… mais qui dirige absolument tout dans ta vie.

Dans cet épisode de la série spéciale 100% SOLIDE, je t’arrache (avec douceur et insolence) à cette idée qu’il faudrait suivre la machine pour ne pas se faire dépasser.

Parce qu’en réalité, ce qui te met en danger, ce n’est pas l’IA.
C’est la paresse naturelle de ton cerveau, ton scrolling frénétique, ton stress, ton absence de repos, ta déconnexion de ton propre ressenti.

Tu veux la vérité ?
L’IA n’est pas (totalement) ton ennemie.

Mais elle adooore quand tu deviens dépendante. Quand tu fonctionnes en pilote automatique.
Quand tu crois qu’elle est plus créative que toi… alors qu’elle ne fait que recracher le passé sous forme de mosaïque un peu brillante.

Alors je vais pas te mentir, j'utilise l'intelligence artificielle (surtout pour optimiser cette création de 100 épisodes en 100 jours!),
Oui, je l’utilise aussi.MAIS jamais au détriment de ma souveraineté.
Jamais au prix de ma créativité.
Jamais en sacrifiant mon monde invisible, ce lieu sacré où tout se crée, où tout s’aligne, où tout se décide.

Dans cet épisode, tu vas découvrir :

✨ Pourquoi la majorité de ta vie se joue dans l’invisible et pourquoi c’est là que tu deviens SOLIDE.
✨ Comment l’IA peut t’affaiblir… ou devenir ton outil (et pas ton maître).
✨ LA seule attitude souveraine face à la peur technologique
✨ Que la PNL a menti à tout le monde en disant que l'on est soi “visuelle / auditive / kinesthésique… alors qu'en réalité, nous sommes tous 100% kinesthésique, comme tout être humain normalement connecté à lui-même.
✨ Comment les Peuples Racines comprennent la modernité mieux que l’Occident (spoiler : rien à voir avec des machines).
✨ Et surtout : comment revenir là où tout commence… dans ton ressenti.

Si tu veux rester souveraine, lucide, autonome, créative. Bref, si tu veux arrêter de te laisser siphonner par ce qui va plus vite que toi, cet épisode est pour toi.

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Cet épisode va te rappeler qui tu es vraiment — avant que la société, les “bien-pensants” et les injonctions du développement personnel ne viennent t’assommer avec leurs vérités toutes faites et copiées-collées.

Aujourd’hui, je te parle d’un livre qui n’a pas seulement changé ma vision du monde :
il a changé ma verticalité, ma foi en l’humanité, et ma manière de comprendre le sacré.

Un livre qui m’a reconnectée à cette intuition immense — oui, celle qui fait partie de mon ADN de poisson ascendant poisson — et qui m’a rappelé que l’invisible n’est pas un concept : c’est 90% de notre réalité..

Ce livre, c’est Paroles des peuples racines de Sabah Rahmani.
Et si tu crois que tu vas y trouver une lecture “mignonne et inspirante”… Nope.
Tu vas y trouver une vérité : Qui tu es vraiment.

Et c’est exactement ce dont on a besoin quand on veut devenir SOLIDE.
Pas des paillettes. Pas des mantras collés sur le frigo.
Juste de la spiritualité qui n’a rien de perché. Une spiritualité qui puise ses racines dans la Nature. Partagée par 19 tribus interviewées sur les 5 continents.

Dans cet épisode, je te raconte :

🌿 Pourquoi tous les peuples premiers — sans jamais se parler ni se rencontrer — partagent le même respect viscéral pour l’arbre, la terre et l’équilibre.
🌙 Comment le sacré infuse absolument tout : les plantes, les animaux, les lieux, les cycles, les ancêtres.
🔥 Pourquoi leur rapport à la nature n’a rien de “vegan instagrammable”, mais tout d’un pacte spirituel, d’un échange conscient, d’une dette sacrée.
👵 Pourquoi chez eux, les anciens sont des bibliothèques vivantes… alors que chez nous, on les parque dans des centres pré-cimetières par manque de vision et d’âme.
✨ Et surtout : comment ce livre révèle le gouffre entre notre société coupée de l’essentiel… et ce que nous pourrions redevenir si on réactivait notre propre spiritualité.

Cet épisode, c’est un rappel amical :
Tu n’as pas perdu ta spiritualité. Elle a juste été étouffée.
La retrouver, c’est retrouver ta puissance, ta foi, ton autonomie émotionnelle, ton équilibre, ta vision… et ta solidité.

Et comme Noël approche (ou est déjà passé, selon quand tu m’écoutes), c’est peut-être le moment de t’offrir un cadeau qui change vraiment quelque chose :
— Ce livre.
— Ta reconnection.
— Et, tant qu’on y est, ton inscription à ma newsletter En Roues Libres — parce que la solidité, ça se construit aussi en remettant un peu de vérité et de liberté dans ta vie quotidienne.

Cet épisode va te faire regarder les arbres — et toi-même — autrement.

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Tu crois que t’indigner sur Internet, c’est être une femme engagée ?

Tu crois que t’énerver sur la dernière polémique, c’est défendre la justice ?

Spoiler : c’est surtout une manière classe d’éviter ce qui brûle chez toi.

Aujourd'hui, je démonte un mécanisme qu’on adore toutes :
se mêler des drames du monde pour ne pas affronter notre propre vérité.

À partir d’une phrase devenue virale — « On ne naît pas sale conne, on le devient » — je t’emmène au cœur d’un piège émotionnel dans lequel la majorité de nous tombons… sans jamais s’en rendre compte.

La polémique autour d’Ary Abittan, et la défense de Brigitte Macron, les réseaux qui s’enflamment… Tout est prétexte à crier au feu chez les autres pendant que notre maison intérieure brûle depuis longtemps.

Et je te parle en connaissance de cause.

Dix ans dans la police. Dix ans à voir des dossiers triturés par l’opinion publique, commentés par des gens qui n’avaient pas lu UNE putain de page du dossier.
La justice, la vraie, n’a jamais eu besoin de l'avis de M. et Mme tout-le-monde pour fonctionner.
Mais toi, tu continues de prêter ton cœur aux buzz comme si c’était vital.

Alors je te pose THE question :
Ce qui te capte aujourd’hui… te rend-il solide ?
Ou te maintient-il au stade 1 de la Méconnaissance : colère, dispersion, projection, indignation de façade ?

Parce que oui : s’indigner, c’est facile.
Regarder sa vie à soi, beaucoup moins.

Et c’est là que tout change.

Quand tu arrêtes d’arroser les plantes du voisin alors que les tiennes crèvent.
Quand tu cesses de hurler sur l’incendie de l’autre, alors que ta maison à toi demande juste qu’on éteigne les braises.
Quand tu commences – enfin – à protéger ton attention comme le trésor qu’elle est.

Dans cet épisode, je t’emmène du stade 1 (réactivité, agitation, dépendance émotionnelle) jusqu’à la vision claire de ce que sont les stades 4 et 5 : ouverture, maturité, foi, paix intérieure.

Je te montre la mécanique exacte qui t’empêche de devenir la femme libre, alignée et solide que tu veux être.

Et surtout : je te révèle comment reprendre ton pouvoir en un choix simple.
Oui, un choix. Parce que ce n’est jamais une question de chance.

À la fin, tu sauras identifier instantanément ce qui nourrit ta solidité… et ce qui siphonne ton âme une notification après l’autre.

Prête à cesser de te laisser gaver d’informations-malbouffes ?

Prête à redevenir souveraine dans ton propre cœur ?

Alors appuie sur play.
Ta solidité commence exactement ici.

Demain, je te parlerai d’un livre qui a été ma Bible pendant des années… et je te garantis que tu ne t’y attends pas.

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Tu veux savoir la vérité ?
Plus j’avance vers la fin de cette série « 100 % Solide », plus c’est sport. Pas parce que je manque d’idées, non, mais parce que j’ai l’impression que tu as compris.
Que tu as pigé ce que c’est “être solide”.
Que tu as saisi le mindset.
Que tu as intégré les 5 étapes.

Sauf que : non.

Pas encore. Pas vraiment. Pas avec le cœur.

Je t’explique pourquoi comprendre « SOLIDE » avec ta tête… c’est comme essayer d’apprendre à nager en lisant une brochure. Utile, peut-être. Transformateur ? Jamais.

Parce que le siège de l’intelligence, celle qui t’aligne et te rend invincible… c’est dans ton cœur que ça se joue. Pas dans le mental qui tourne en boucle à 300 km/h. (hello les HPI)

Je te parle aussi de ce truc que personne n’envisage :

Comment je réussis ma vie sans jamais avoir eu une vie “facile”. Avec un handicap.
Dans une société pas pensée pour moi et pour d'autres.
Avec mille raisons de râler, revendiquer, m’indigner.
Et pourtant… j’avance, je crée, j’obtiens tout ce que je veux.

Parce que j’ai appris à utiliser mon handicap comme un levier, pas comme une excuse.

Tu vas comprendre pourquoi tu as l’impression d’être « bloquée » alors que tu sais déjà tout.
Tu vas comprendre pourquoi ton mental sabote.
Tu vas comprendre pourquoi tu n’arrives pas à faire résonner le monde autour de toi comme tu le voudrais.

Et surtout :
Tu vas voir comment j’ai décidé de t’aider à réveiller ta sensibilité (oui, celle que tu caches derrière des raisonnements “logiques”).

Avec un calendrier de l’Avent… pas du tout à l’heure.

Parce que respecter le handicap, c’est aussi accepter qu’on ne trouve jamais les bonnes cases du premier coup.

Des mini-anecdotes d’inclusion, illustrées, vraies, quotidiennes, vivantes.

Pas des mantras mignons imaginées par une IA superficiell et inhumaine. Des claques pédagogiques.

Si tu veux comprendre comment ton attitude crée ton monde extérieur alors cet épisode est un passage obligé.

Et si tu veux recevoir les anecdotes directement dans ta boîte mail, inscris-toi à En Roues Libres (ma newsletter)

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Aujourd’hui, j’étais censée te montrer ma version rebelle-anarchiste-je-m’en-foutiste. Spoiler : pas envie.
Je ne force rien. Je choisis. Ce n’est pas une question de chance, mais de choix.

Alors, à la place, je te parle… juste de ma journée.
Oui, ma journée.
Et avant que ton cerveau ne saute en mode « ok, osef », écoute-moi bien :
c’est précisément là que ça devient intéressant.

Parce qu’une journée « banale » pour toi…
peut devenir une masterclass d’inclusion vivante quand tu ne rentres pas dans les cases.

Aujourd’hui :
→ un père qui a déjà expliqué que j’étais petite parce que j’avais “mangé trop de crème dessert”,
→ des jeunes de la sécurité fascinés par ma voiture adaptée,
→ trois adultes qui découvrent, bouche ouverte, qu’une personne handicapée peut conduire avec un robot dans le coffre.

Et ça, tu vois, c’est ça l’inclusion.
Pas les grands discours. Pas les pancartes. Pas les hashtags.

La présence.
Le dialogue.
La curiosité.
Le réel.

Ce petit moment où quelqu’un te regarde, voit quelque chose qu’il n’a jamais vu… et tout d’un coup, bim :
une croyance bouge.
Une case s’ouvre.
Un préjugé se fissure.
Quelque chose change.
Chez lui. Chez toi. Dans le monde.

Dans cet épisode, je t’embarque dans ma journée qui n’a l’air de rien mais qui, en vrai, est un concentré de S.O.L.I.D.E :
✔ ouverture à l’autre
✔ exploration du quotidien autrement
✔ foi dans l’humain, même quand il dit n’importe quoi
✔ liberté d’être soi, sans performance
✔ et cette ambition tranquille : changer le monde par la simple présence.

Tu vas rire, tu vas te reconnaître, tu vas peut-être grimacer…
Mais surtout, tu vas voir comment une journée ordinaire peut devenir un acte d’inclusion extraordinaire, simplement parce qu’on ose exister pleinement, sans s’excuser.

À la fin, je te demande : Toi, c’est quoi tes gestes quotidiens qui transforment le monde dans lequel tu veux vivre ?
Et attention… il n’y a pas de bonne réponse.
Juste une prise de conscience.
Et peut-être un choix nouveau.

Clique.
Écoute.
Et laisse entrer une autre manière de regarder le monde.

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Aujourd'hui, et pour conclure les 2 épisodes précédents sur le fait de "demander de l'aide", on parle des aidants.
Oui, ces personnes censées t’aider… mais qui parfois te donnent plutôt envie de t’enfuir en courant (si seulement tu pouvais courir).

Aujourd'hui, on fait un tour express — et totalement désinhibé — des 3 profils d’aidants que tu as forcément déjà croisés si tu vis avec un handicap, une maladie chronique, une limitation ou juste… une famille compliquée.

➡️ Les aidants encombrants
Ceux qui te sautent dessus parce que tu as simplement regardé une bouteille d’eau. Tu respires à côté d’un objet et ils pensent que tu veux l’épouser. Leur intention est mignonne… leur timing, beaucoup moins.

➡️ Les aidants rancuniers
Eux, c’est l’élite du “je t’ai aidé, tu me dois tout jusqu’à la fin des temps”.
Leur spécialité ? Le passif-agressif sous couverture humouristique.
Tu connais : “Hahaha t’imagines si tu devais te débrouiller toute seule ? Heureusement que je suis là hein !”
Oui, hahaha. Vraiment très drôle.

➡️ Les aidants infantilisants
Ceux qui te parlent comme si tu avais 6 ans d’âge mental.
Tu demandes un verre d’eau et ils te répondent :
“Alors on va faire un petit effort, hein, on me dit ce qu’on veut avec des mots.”

La pédagogie maternelle appliquée aux adultes. Merci, mais non merci.

Je te parle de tout ça avec légèreté, pas parce que le sujet est léger (il ne l’est pas), mais parce que… on arrive à la fin de l’année, et franchement, qui a encore de la place mentale pour plus de lourdeur ?

Et puis, ce terrain-là m'est connu. J’ai grandi dedans. Ma famille, et surtout ma maman, a été proche aidante pendant des années.

C'est de la charge, beaucoup de fatigue, de la solitude mais aussi, des bons moments.

Et je sais surtout les moments où tu aimerais juste… respirer.

Alors aujourd’hui, je t’offre un peu de recul, un peu de rire, et surtout la permission sacrée de mettre les limites que tu n’as peut-être jamais osé poser.

Parce que oui : ce n’est pas une question de chance, mais de choix.
Et tu peux choisir d’éduquer, de recadrer, de communiquer — plutôt que d’avaler tout ce qui t’est servi sous prétexte que “tu dépends des autres”.

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