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Nous sortons de l’eau tous les cinq, dégoulinants, la peau encore brûlante malgré la fraîcheur nocturne. Les dalles tièdes de la margelle nous accueillent. La lune est pleine, presque obscène, et elle éclaire chaque détail, comme un projecteur.

Gabriela pose sa serviette sur le bord d’un transat, s’agenouille dessus sans un mot et fait signe à Youssef de s’avancer. Il hésite une seconde, nu, sa queue encore à moitié dure qui se redresse déjà sous le regard de tous. Il fait un pas. Elle le saisit à la base, calmement, presque cérémonieusement.

Elle commence par le regarder droit dans les yeux, puis elle baisse la tête et lèche lentement le dessous de la verge, de la racine jusqu’au gland. Youssef frissonne, ses abdominaux se contractent. Elle répète le geste, plus lentement encore, comme si elle savourait chaque veine, chaque relief. Puis elle ouvre grand la bouche et avale son gland, le garde un long moment, joue avec sa langue , encercle son prépus, les lèvres bien serrées. Ses joues se creusent. Elle descend d’un coup, sans à-coup, jusqu’à ce que son nez touche le ventre plat de Youssef et que ses lèvres touchent la base. Elle a avalé toute sa queue. Je ne sais pas comment elle fait car la bite de notre ami est longue. Elle reste là, immobile, la gorge pleine et les yeux levés vers lui. Youssef pousse un râle sourd et ses mains s’ouvrent et se ferment dans le vide.

Elle recule lentement et laisse apparaitre un filet de salive brillant qui relie sa bouche au gland du jeune homme ; puis elle replonge. Elle joue avec ce spaghetti de salive épaisse mélé sans doute déjà du jus de couilles de son amant tunisien. Puis elle accélère. Elle installe son rythme : profond, régulier et implacable. Ses mains ne restent pas inertes : l’une masse doucement les couilles, les fait rouler, les tire légèrement ; l’autre tient la base et accompagne le mouvement, comme si elle baisait sa propre bouche avec cette queue.
Je te caresse la bite. Cette scène t'excite mon salaud. Je te branle pendant que nous regardons cette fellation digne d'une vraie pro...

Youssef essaie de rester droit, mais ses genoux fléchissent. Il pose une main sur la tête de Gabriela, pas pour la guider, juste pour se retenir. Et elle accélère encore, la tête va et vient sur cette belle bite, ses cheveux noirs collés à ses joues, et ses seins lourds ballottent à chaque mouvement. Je vois la queue de Youssef enfler encore, luisante de salive. Elle le sent venir : elle ralentit une seconde, le sort de sa bouche, le branle lentement devant ses lèvres ouvertes, la langue tendue, et puis le reprend jusqu’au fond. Mais sentant que Youssef est au bord de lui gicler dans la bouche, Gabriela se redresse, en essuyant ses lèvres du dos de la main. Youssef vacille un peu, il peut à nouveau un peu respirer. Mais pas pour longtemps...

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Youssef se tient là, silhouette athlétique découpée par la lueur argentée de la lune, son maillot de bain rétro tendu par son désir. Ses yeux sombres balaient la piscine, s'attardant sur nos corps enlacés dans l'eau, sur tes mains qui me retiennent encore par les hanches tandis que ta queue pulse toujours en moi, ralentissant après ton dernier assaut. Il hésite une seconde, ce mélange de timidité professionnelle et de feu intérieur que j'ai déjà goûté, mais Gabriela, émergant de l'eau comme une sirène, lui fait signe d'approcher, un sourire carnassier aux lèvres. "Viens, bello, l'eau est bonne," murmure-t-elle en italien, sa voix rauque tranchant le silence nocturne.

Tu te retires doucement de mon cul et je me retourne pour nager vers le bord, mes seins flottant à la surface. Youssef descend les marches, son corps musclé glissant dans l'eau sans un bruit, et bientôt il est près de nous, son parfum de savon et de peau chaude se mêlant à l'odeur chlorée. Je sens l'air crépiter d'une tension nouvelle, ce jeune Tunisien, qui s'offre à ce cercle libertin improvisé.

Je m'approche de lui la première, mes doigts effleurant son torse lisse sous l'eau, descendant vers ce renflement qui m'appelle. Je saisis sa queue. Mmmh elle est déjà si raide... Ses mains trouve mes hanches. Il m'attire contre lui, sa queue dure pressant contre mon ventre. Gabriela nage vers nous, ses courbes voluptueuses ondulant, et elle pose une main sur l'épaule de Youssef, et de l'autre vient également palper sa queue. Elle l'embrasse tout en glissant une main entre mes cuisses pour caresser ma chatte encore sensible. Youssef m'embrasse à son tour, sa langue explorant ma bouche avec délicatesse. Tu t'approches par derrière et pose tes mains sur mes fesses "Prends-la," dis-tu à Youssef d'une voix grave, excitée par la scène, et il obéit, guidant sa bite épaisse vers ma chatte ruisselante. Pas de capote cette fois-ci. On est dans l'eau chlorée, on va dire ça...Il s'enfonce en moi d'un coup fluide, me remplissant jusqu'à la garde, et je gémis doucement, la tête renversée. Guillaume, ne restant pas spectateur, nage vers Gabriela ; il vient frotter sa queue contre le cul de sa femme qui dévore Youssef de baisers pendant qu'il commence à me baiser. Il l'enfile. Youssef me baise lentement, ses hanches roulant comme des vagues, chaque retrait et chaque poussée amplifiés par la flottabilité. Je vois Gabriela qui caresse les fesses musclées de ce bel éphèbe pendant que Guillaume la pénètre. Tu viens te placer derrière moi à nouveau. Tes doigts reviennent jouer avec mon cul et bientôt tu te repositionnes, ta queue durcie par le spectacle, glissant dans mon petit trou. Oh putain, encore une double... L'eau clapote autour de nous, masquant nos gémissements, et vous me prenez en tandem, Youssef dans ma chatte, toi dans mon cul, vos rythmes se synchronisant autant que faire ce peut car Gabriela, empalée sur Guillaume est aussi de la partie caressant mes seins, malaxant les couilles de Youssef ou palpant son cul d'athlète...

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Nous nous retrouvons le soir avec nos amis autour de la piscine. Il fait encore bon à ce moment de l'année certains soir. Nous nous mettons à l'eau. Cette fois-ci, c'est moi qui ai concocté une suprise. J'ai demandé à Youssef de passer nous rejoindre après son service dans la piscine. Nous nous mettons à l'eau. Gabriela s’éloigne d'emblée d’un dos crawlé, laissant derrière elle une trainee de lumière ; Guillaume, sur le bord, éteint la lampe de la pergola. Il ne reste que la lune ronde et le reflet des étoiles qui palpitent à la surface.

Tu m'embrasse. Tes mains sont sur mes hanches, mes jambes autour de ta taille. L’eau soulève mes seins, les fait flotter, offerts ; tu en prends un entre tes lèvres, le mords sans dents, puis le lâches, souffle court. Je sens ta bite remonter, dure déjà, glisser entre mes cuisses. Tu me retournes. Tu cherches. Mais pas ma chatte : tu vas plus bas et vient en butée contre ma rondelle. Je me cambre.

Je me laisse aller, ventre sur l’eau, bras repliés sur le bord tiède. Tu écartes mes fesses, l’eau entre, sort, un doigt d’abord, deux, qui tournent, qui dilatent mon cul rendu souple par les pénétrations précédentes. Puis tu remplaces tes doigts par ta bite et entres. Tu es chez toi. La chaleur de l’eau trompe la petite brûlure distincte aux premiers frottements de la sodomie. Mais tout devient vite lisse, soyeux, sans friction. Tu glisses entier, jusqu’à buter contre mes reins, et tu t’arrêtes, respires, me laisses t’accueillir davantage, t’engloutir entièrement.

Le rythme naît de la houle : tu recules quand l’eau s’éloigne, tu plonges quand elle revient. Mes seins effleurent la surface, mamelons durs comme des grains de sable. Guillaume, à quelques mètres, regarde, accoudé sur le bord, son ombre se découpant, son entrejambe qui se soulève sous l’eau. Il ne bouge pas. Gabriela, elle, disparaît pour réapparaitre pour reprendre son souffle , comme un poisson volant.

Tu accélères, l’eau clapote contre mes reins. Je sens ta main qui glisse devant, trouve ma fente, écarte, presse, pince ; l’autre main plaque ma nuque, m’ancre. Je suis ouverte, offerte et noyée à la fois. Tes coups sont plus courts, plus lourds, chaque fois tu me soulèves un peu, tu me rends, tu me reprends. Le plaisir monte en moi comme une marée haute, sans cris, sans air, juste un tremblement qui part de mon cul et irradie jusqu’à mes tempes.

Quand soudain, Youssef apparaît en maillot debout au bord de la piscine, un maillot de bains à l'ancienne mais déjà moulée par sa belle queue bandée...

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