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Nous nous retrouvons le soir avec nos amis autour de la piscine. Il fait encore bon à ce moment de l'année certains soir. Nous nous mettons à l'eau. Cette fois-ci, c'est moi qui ai concocté une suprise. J'ai demandé à Youssef de passer nous rejoindre après son service dans la piscine. Nous nous mettons à l'eau. Gabriela s’éloigne d'emblée d’un dos crawlé, laissant derrière elle une trainee de lumière ; Guillaume, sur le bord, éteint la lampe de la pergola. Il ne reste que la lune ronde et le reflet des étoiles qui palpitent à la surface.
Tu m'embrasse. Tes mains sont sur mes hanches, mes jambes autour de ta taille. L’eau soulève mes seins, les fait flotter, offerts ; tu en prends un entre tes lèvres, le mords sans dents, puis le lâches, souffle court. Je sens ta bite remonter, dure déjà, glisser entre mes cuisses. Tu me retournes. Tu cherches. Mais pas ma chatte : tu vas plus bas et vient en butée contre ma rondelle. Je me cambre.
Je me laisse aller, ventre sur l’eau, bras repliés sur le bord tiède. Tu écartes mes fesses, l’eau entre, sort, un doigt d’abord, deux, qui tournent, qui dilatent mon cul rendu souple par les pénétrations précédentes. Puis tu remplaces tes doigts par ta bite et entres. Tu es chez toi. La chaleur de l’eau trompe la petite brûlure distincte aux premiers frottements de la sodomie. Mais tout devient vite lisse, soyeux, sans friction. Tu glisses entier, jusqu’à buter contre mes reins, et tu t’arrêtes, respires, me laisses t’accueillir davantage, t’engloutir entièrement.
Le rythme naît de la houle : tu recules quand l’eau s’éloigne, tu plonges quand elle revient. Mes seins effleurent la surface, mamelons durs comme des grains de sable. Guillaume, à quelques mètres, regarde, accoudé sur le bord, son ombre se découpant, son entrejambe qui se soulève sous l’eau. Il ne bouge pas. Gabriela, elle, disparaît pour réapparaitre pour reprendre son souffle , comme un poisson volant.
Tu accélères, l’eau clapote contre mes reins. Je sens ta main qui glisse devant, trouve ma fente, écarte, presse, pince ; l’autre main plaque ma nuque, m’ancre. Je suis ouverte, offerte et noyée à la fois. Tes coups sont plus courts, plus lourds, chaque fois tu me soulèves un peu, tu me rends, tu me reprends. Le plaisir monte en moi comme une marée haute, sans cris, sans air, juste un tremblement qui part de mon cul et irradie jusqu’à mes tempes.
Quand soudain, Youssef apparaît en maillot debout au bord de la piscine, un maillot de bains à l'ancienne mais déjà moulée par sa belle queue bandée...
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