Résultats lu par "Juliette Gosselin" dans Toutes les catégories

Styvie Savard was a damn good cop - before she made a mistake that cost her everything. Now she lives in her car, works a dead-end job, and scrapes by on the fumes of a dwindling savings account. Life couldn’t get much worse, until it does. One morning on the way to work, Styvie hits a 16-year-old, Dharma, with her car. When the injured girl flees the scene, Styvie finds that she can’t leave well enough alone. 

China White : la voie de Dharma est un polar enlevant de l’autrice canadienne Sarah Richards, où les femmes sont à l’avant-plan. Dans cette histoire de survie et de rédemption, Styvie Savard, une ex-policière déchue, forme une alliance improbable avec une adolescente en fugue à la situation précaire. Ensemble, elles devront affronter un baron de la drogue et un gourou menaçant. Plongez avec elles au cœur des bas-fonds de Vancouver, dans cette quête de justice à tout prix qui brouille les frontières entre le bien et le mal.

Elle se nomme Hélène, mais se fait appeler Joe parce qu'elle veut vivre en garçon comme lady Oscar, son héroïne de dessins animés préférée qui est la capitaine de la garde rapprochée de Marie-Antoinette. Comme elle, elle aimerait vivre à l'époque de la Révolution française et réaliser de grands exploits, car elle a l'âme romantique et un imaginaire avide de grands drames. Mais elle doit se contenter de passer les journaux, puis de travailler comme serveuse dans une salle de bingo.

Juillet 2007. L’été s’annonce ennuyant pour Marjorie. Pendant que sa meilleure amie Sara est partie en road trip avec l’espoir inavoué de déclarer son amour à Sébastien, Marjorie, elle, contemple le désert qu’est sa vie amoureuse et tue le temps en compagnie de son ami Jean-Philippe. À 21 ans, Marjorie est à la croisée des chemins, là où se rencontrent la vie étudiante et la vie adulte. Si ses ambitions professionnelles sont claires, une question demeure: quand vivra-t-elle un amour réciproque?

Dès le printemps, mon petit cheval a commencé à montrer des signes de fatigue. Les pièces lâchaient, les unes après les autres, comme des fruits blets. J’avais beau bricoler des petites réparations maison ici et là - mon silencieux avait tenu trois semaines grâce à un collet de mon invention -, je finissais toujours au garage, sous les regards accablés de mon père qui se désolait de voir qu’il avait eu raison : ça coûte cher, une auto.