Résultats lu par "Lisa Schneider" dans Toutes les catégories

Kéziah est une princesse. Quand elle est petite, un coup d'Etat cause la mort de toute sa famille. Elle grandit donc sous une fausse identité, à l'abri au pied des montagnes. La reine qui a pris le pouvoir a instauré une sévère censure qui interdit tous les livres. Mais qui dit "interdiction" dit aussi "rébellion"... Un trafic s'est mis en place, et Kéziah aime entretenir ce commerce illégal qui lui permet de garder un lien avec le folklore et les légendes magiques de son pays.

Que feriez-vous si vous appreniez que vous étiez capable de créer des illusions ? De supprimer la peur ou la douleur ? De recouvrir votre corps de glace par la simple force de votre esprit ? Seriez-vous de ceux qui se laisseraient griser par l’excitation ou au contraire, de ceux qui s’en méfient ? Rechercheriez-vous de l’aide auprès des personnes comme vous qu’on appelle les Suppdonns ? Ou est-ce que vous préfèreriez vous débrouiller seul ? Les traqueurs rôdent alors décidez-vous rapidement : de brûlants tourments guettent et vous pourriez n’être à l’abri nulle part.

Prisonnière de sa vie et de sa caste, Ehsan porte la terrible marque de l’esclavage depuis ses huit ans. Servante au palais royal, son quotidien est rythmé par les injustices qui la révoltent. Mais une femme de sa condition peut-elle y changer quelque chose?

Nous sommes le jour de la Saint-Valentin et la pauvre Jessica vient de se faire larguer par SMS. Elle qui croyait enfin avoir droit à l'amour et au bonheur voit ses espérances s'envoler... Le coeur gros, elle maudit le 14 février et Cupidon en particulier. Elle ne s'attend absolument pas à ce qu'une fée masculine apparaisse à côté d'elle, en plein coeur de Montmartre, prêt à lui faire la leçon.

Un ennemi redoutable - Une alliance improbable - Un chat qui parle. Comment vivre en harmonie avec les siens quand on est un émissaire de mort que tuer rend malade ? La réponse est "on ne peut pas". Qualifiée d'erreur par ma communauté, je me suis enfuie le jour de mes seize ans quand j'ai refusé mon premier assassinat.