
Au Nord, y avait le peloton : Christophe Moreau, un homme en jaune à Dunkerque
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Passer de l’ombre à la lumière en un claquement de doigt, être anonyme, être un héros, être critiqué… C’est le dur monde du vélo. Et c’est l’histoire aussi d’un coureur, Christophe Moreau. Coéquipier de Richard Virenque aux pires heures du scandale Festina dans les années 90, avant de toucher le graal, c’est-à-dire de décrocher le fameux maillot jaune. C’était lors du dernier grand départ du Tour de France qu’a connu la région, à Dunkerque le 7 juillet 2001.
Et lors de ce prologue, sorte d’introduction à la course, Christophe Moreau a déjoué tous les pronostics en empochant la tunique jaune. Il « était alors au sommet de sa forme après un tour de France en 2000 où il avait terminé au pied du podium, à la quatrième place. Pendant plusieurs années, Christophe Moreau a été le meilleur Français sur la Grande Boucle…
On va revenir sur cette page de l’histoire du Tour et aussi sur la trajectoire du coureur. Après une retraite sportive en 2011, Christophe Moreau a sombré dans les addictions. Il l’évoque aujourd’hui à cœur ouvert.
Cette histoire, on en parle avec Sébastien Noé, journaliste au service des sports de La Voix du Nord en charge du cyclisme.