Ni Dieu, ni maître et sans baratin

Anarchiste désabusé, agnostique, attaché à la liberté de penser et aux idées émancipatrices universelles,
je tente, à travers ce podcast, de bousculer, sans filtre, la langue de bois des biens-pensants
de droite comme de gauche ainsi que des fanatiques de tous poils.

Dans son article "La guerre est déjà là, et les collabos aussi", François Milhiet aborde la notion de "guerre" dans un contexte contemporain, en s'appuyant sur des références historiques pour illustrer son propos.

La guerre moderne selon l'auteur

François Milhiet affirme que la guerre actuelle ne se manifeste pas nécessairement par des conflits armés traditionnels, mais plutôt par des formes plus subtiles d'oppression et de manipulation. Il suggère que des forces économiques et politiques exercent une domination sur les populations, comparable à une guerre silencieuse.

Les "collabos" d'aujourd'hui

L'auteur établit un parallèle entre les collaborateurs de la Seconde Guerre mondiale et certaines figures contemporaines qu'il considère comme complices de cette "guerre" moderne. Il critique ceux qui, selon lui, soutiennent ou profitent de systèmes oppressifs au détriment du bien commun.

Appel à la vigilance et à l'action

François Milhiet exhorte ses lecteurs à reconnaître les signes de cette guerre insidieuse et à s'opposer aux "collabos" modernes. Il encourage une prise de conscience collective et une résistance active pour préserver les valeurs démocratiques et les droits fondamentaux.

En conclusion, l'article invite à une réflexion sur les formes contemporaines de domination et sur la nécessité de rester vigilant face aux complicités qui les favorisent.

Retrouvez les textes et Podcasts des Ateliers Cogito sur mon site web :

https://milhiet.com/blog/ateliers-cogito/

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Le danger de l’Intelligence Artificielle

Dans son article "Le danger de l'Intelligence Artificielle", François Milhiet explore les risques potentiels liés à l'IA, en se concentrant sur les implications économiques et politiques plutôt que sur les scénarios dystopiques souvent dépeints dans la science-fiction.

Utilisation personnelle de l'IA

François partage son expérience avec ChatGPT, un outil d'IA qu'il utilise régulièrement pour la programmation et la recherche. Il souligne l'efficacité croissante de cet outil, capable de compiler et trier le contenu des sites web pour fournir des réponses pertinentes, surpassant ainsi les moteurs de recherche traditionnels.

La singularité technologique

L'auteur aborde le concept de "singularité technologique", un point hypothétique où l'IA s'auto-améliorerait de manière exponentielle, entraînant des changements imprévisibles dans la société humaine. Il cite des œuvres de science-fiction comme "Terminator" et "Matrix" qui illustrent des scénarios où des machines intelligentes menacent l'humanité.

Le véritable danger selon l'auteur

Contrairement à ces visions apocalyptiques, François estime que le danger réel de l'IA réside dans son appropriation par une minorité déjà détentrice de la majorité des richesses mondiales. Il souligne que, selon des données de 2017, 5 % des plus riches possédaient 76,4 % de la richesse mondiale, et en 2020, les 1 % les plus riches détenaient 48 % de tous les actifs financiers mondiaux. Cette concentration de richesse, combinée aux avancées de l'IA, pourrait exacerber les inégalités et renforcer le pouvoir de cette élite économique.

En conclusion, François Milhiet nous invite à réfléchir sur les implications socio-économiques de l'IA, en mettant en garde contre une concentration accrue du pouvoir et des ressources entre les mains d'une minorité, plutôt que de craindre des scénarios fictifs de robots destructeurs.

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Atelier Cogito du jeudi 21 novembre 2024 : La rumeur

Dans son article "La rumeur", François Milhiet examine les mécanismes et les conséquences des rumeurs dans la société. Il souligne que le terme "rumeur" dérive du latin "rumor", signifiant "bruit vague", et décrit comment ces "bruits qui courent" peuvent causer des dommages considérables.

Origines et propagation des rumeurs

François identifie plusieurs sources potentielles de rumeurs : la malveillance, les quiproquos, les malentendus, la bêtise, les préjugés et parfois les canulars. Il insiste sur le fait que, même lorsque la rumeur naît d'un malentendu ou d'un quiproquo, la responsabilité de sa propagation incombe à ceux qui, sans vérifier l'information, la diffusent davantage.

Expressions populaires et impact

L'auteur critique des expressions telles que "Il n'y a pas de fumée sans feu", qu'il considère dangereuses car elles légitiment la rumeur en suggérant qu'elle repose sur une part de vérité. Il met en garde contre l'acceptation passive de telles maximes, qui peuvent conduire à des lynchages médiatiques et, dans des cas extrêmes, pousser les victimes au suicide.

Expérience personnelle

François partage une expérience personnelle où une rumeur infondée a affecté sa famille, illustrant la facilité avec laquelle des informations déformées peuvent circuler et causer du tort. Il souligne que la critique et les ragots sont souvent le fait de personnes insatisfaites de leur propre existence.

Conseils pour se prémunir des rumeurs

Pour éviter de participer à la propagation des rumeurs, l'auteur recommande de :

• Vérifier les sources : Ne pas se fier aux "on-dit" et chercher des preuves concrètes avant de croire ou de diffuser une information.

• Éviter les généralisations : Ne pas extrapoler des cas isolés pour en faire des vérités générales.

• Pratiquer l'empathie : Se mettre à la place des autres et considérer l'impact potentiel de nos paroles.

En conclusion, "La rumeur" est un appel à la vigilance et à la responsabilité individuelle face aux informations que nous recevons et relayons. François Milhiet nous invite à cultiver l'esprit critique et la bienveillance pour contrer les effets néfastes des rumeurs dans notre société.

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