Épisodes

  • HugoDécrypte - Actus et interviews - Macron veut taxer la Chine comme Trump, explications
    Dec 8 2025

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    🔗 DES LIENS POUR EN SAVOIR PLUS


    FRANCE-CHINE : Les Echos, France 24, Le Point


    BÉNIN : RFI, Le Monde


    SYRIE : Franceinfo, France 24


    THAÏLANDE-CAMBODGE : France 24, Le Monde


    COCAÏNE : HuffPost, Franceinfo


    ARMES BLANCHES : Gouvernement, BFMTV


    TÉLÉTHON : Sud-Ouest, Le Dauphiné



    Écriture : Blanche Vathonne - Léah Boukobza - Samy Rabbata - Brice Donadille - Hugo Travers

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    12 min
  • Wiloo - 🏆 LDC – MES PRONOS !!! (J6)
    Dec 8 2025

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    30 min
  • Nota Bene - CALLISTO - Gauvain et le chevalier vert (partie 2)
    Dec 8 2025

    Bonjour à tous et bienvenue dans Callisto, le Podcast qui vous fait voyager à travers les récits mythiques et les légendes !

    Aujourd’hui je vous raconte la suite de l’histoire de Gauvain et du chevalier vert, car cela fait plus d’un mois entier que Gauvain parcourt les terres de Bretagne à la recherche de la chapelle verte, demeure du mystérieux chevalier vert qui a scellé sa destinée…

    Bonne écoute !

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    8 min
  • Choses à Savoir - Culture générale - Pourquoi les présidents américains prêtent-ils serment sur la Bible ?
    Dec 8 2025

    Lors de l’investiture d’un président américain, l’image est devenue presque rituelle : une main levée, l’autre posée sur une Bible. Pourtant, contrairement à ce que beaucoup imaginent, aucune loi n’impose d’utiliser un texte religieux. La Constitution américaine est très claire : le futur président doit simplement prêter serment, mais rien n’est précisé concernant l’objet sur lequel il doit poser la main. Cette pratique relève donc de la tradition, non de l’obligation.


    Alors, pourquoi la Bible s’est-elle imposée ? D’abord pour des raisons historiques. En 1789, lors de la toute première investiture, George Washington choisit spontanément d’utiliser une Bible empruntée à une loge maçonnique voisine. Ce geste, hautement symbolique dans une jeune nation encore imprégnée de culture protestante, inspira ses successeurs et donna naissance à une coutume. La Bible devint un marqueur d’autorité morale, un moyen d’afficher probité et continuité. Au fil du temps, cet acte fut perçu comme un signe de respect envers la tradition américaine, mais non comme une règle impérative.


    Ensuite, il faut rappeler que les États-Unis, bien que fondés en partie par des croyants, ont inscrit dans leur Constitution le principe de séparation de l’Église et de l’État. Le serment présidentiel reflète cet équilibre : religieusement neutre dans son texte, mais culturellement empreint de symboles. Le président peut donc décider du support utilisé, ou même… de ne rien utiliser du tout.


    Ainsi, plusieurs présidents n’ont pas prêté serment sur la Bible, ce qui démontre bien que le geste reste optionnel. Le cas le plus célèbre est celui de John Quincy Adams, qui choisit en 1825 de prêter serment sur un livre de lois, considérant que son engagement devait se référer à la Constitution plutôt qu’à un texte religieux. Theodore Roosevelt, en 1901, prêta serment sans aucune Bible, faute d’en avoir une disponible lors de sa prestation inattendue après l’assassinat de McKinley. Plus récemment, certains élus locaux ou fédéraux ont utilisé le Coran, la Torah, ou même des ouvrages symboliques liés aux droits civiques.


    L’essentiel à retenir est donc simple : la Bible n’est qu’une tradition. Le véritable engagement du président est celui envers la Constitution et le peuple américain. Le support choisi n’a aucune valeur juridique : c’est un symbole, et chacun est libre de l’interpréter à sa manière.


    Ainsi, prêter serment sur la Bible n’est pas une règle, mais un héritage culturel que certains perpétuent… et que d’autres préfèrent réinventer.

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    3 min
  • La Balado de Pauchon - # 8 décembre 2025
    Dec 8 2025
    Un calendrier de l'Avent sans enfants n'a pas de sens, donc je suis allé à l'école 30 rue Manin dans le 19 ème à Paris, et là gentiment Gilles m'a ouvert la porte de sa classe de CM2. On écoute les enfants. Bonne balado !

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    20 min
  • L'Actu Tech (en 3 minutes) - Le Samsung Galaxy Z Trifold se plie en trois pour vous
    Dec 8 2025

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    3 min
  • Montreux Comedy Edition Audio - Dolino – Le sac abandonné dans le train
    Dec 8 2025

    Nouvelle semaine, nouveau sketch. Les OUIGO et lui, c'est une grande histoire d'amour ! 😂 Faites du bruit pour Dolino !


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    9 min
  • Choses à Savoir - Culture générale - Pourquoi la BNP a dû payer près de 9 milliards de dollars aux États-Unis ?
    Dec 8 2025

    En mai 2014, un événement inédit a secoué le monde bancaire : BNP Paribas, première banque française, a accepté de payer une amende colossale de 8,97 milliards de dollars au gouvernement américain. Le motif ? La banque avait contourné les embargos imposés par les États-Unis à Cuba, l’Iran et le Soudan entre 2004 et 2012. Ces pays étaient considérés par Washington comme des États soutenant le terrorisme ou violant les droits humains.


    Quels faits étaient reprochés exactement ? BNP Paribas avait réalisé, via certaines filiales, des transactions en dollars pour le compte de clients liés à ces pays. Or, toute opération en dollars transitant à un moment donné par le système financier américain est soumise à la législation des États-Unis. Cela signifie que même une banque étrangère peut être poursuivie à partir du moment où elle utilise la monnaie américaine. C’est l’un des points clés de ce dossier.


    La banque a reconnu avoir non seulement effectué ces paiements, mais parfois mis en place des procédures visant à masquer l’identité des clients ou l’origine réelle des fonds pour éviter les contrôles américains. Sur le plan du droit américain, la sanction était donc légale : la banque avait violé les règles de l’Office of Foreign Assets Control (OFAC), qui encadre les embargos.


    Là où le dossier devient explosif, c’est sur le plan du droit international. Beaucoup d’experts et de gouvernements ont dénoncé une sanction « extraterritoriale ». Autrement dit, les États-Unis appliquent leurs lois à des entités étrangères, opérant hors de leur territoire, simplement parce qu’elles utilisent la monnaie américaine ou un serveur situé aux États-Unis. Pour nombre de juristes, cela revient à imposer au reste du monde la politique étrangère américaine.


    Les critiques soulignent que BNP Paribas n’a pas violé le droit français ni le droit international, et que les embargos américains n’engageaient que les États-Unis. Pourtant, Washington a considéré que l’utilisation du dollar suffisait à justifier son intervention. Ce type de sanction a depuis été utilisé contre de nombreuses entreprises européennes, provoquant un réel malaise diplomatique.


    L’affaire BNP a ainsi mis en lumière un rapport de force : les États-Unis disposent d’une arme économique puissante — le contrôle du dollar — qui leur permet d’étendre leur influence bien au-delà de leurs frontières. Elle a également relancé le débat sur la souveraineté européenne et la capacité du continent à protéger ses entreprises des pressions américaines.


    Une sanction financière, donc, mais aussi un choc géopolitique.

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    3 min