Aujourd'hui, nous ne vous présentons pas une vie de maire, mais l'une des vies sans lesquelles l’exercice de leur mandat serait rendu impossible : celle de l’adjoint au maire !

Pour cet épisode spécial, Clémentine et Margot sont parties à la rencontre de Guillaume Libsig, adjoint à la maire de Strasbourg, en charge de la vie associative, l’animation urbaine, la politique événementielle, la politique jeunesse et l’éducation populaire et pionnier du collectif citoyen qui a constitué le socle de la liste arrivée en tête aux élections municipales de 2020.

Avec Guillaume Libsig, on a parlé de monter un collectif municipal citoyen débutant en politique, de la difficulté de mettre de la distance émotionnelle avec sa vie d’élu et de la bataille culturelle à l’heure de la montée de l’extrême droite.

Tous les soirs, retrouvez la question pas si bête par l'édition du soir de Ouest-France.

Ils ont construit leurs vies sur un mensonge, falsifié des papiers, ou encore dupé leur entourage. Des vies entières basées sur la tromperie, que parfois personne n’a décelée. Ouest-France revient sur les histoires de ces grands imposteurs.

Dans cet épisode, découvrez l’histoire d’une imposture au Moyen-âge, celle de Jeanne des Armoises, qui s'est fait passer pour la vraie Jeanne d’Arc. Un vol d’identité qui ne restera pas unique.

Jeanne d’Arc, surnommée « la pucelle », sera brûlée le 30 mai 1431. Cinq ans plus tard, une femme se présente à Metz, et affirme avoir échappé aux flammes du bûcher. Jeanne épouse, quelques mois après Robert des Armoises au Luxembourg. On retrouvera Jeanne des Armoises évoquée dans des livres de contes en 1439, dans la ville d’Orléans.

À cette époque, aucune photo ni même peinture n’existent, ce qui favorise l’usurpation d’identité. Attendre quelque temps avant de se faire passer pour autrui est chose facile, alors que les souvenirs s’estompent, et que les preuves ne sont que des témoignages.