Épisodes

  • E98 : La lacto-fermentation avec Gabrielle Samson
    Oct 14 2025

    Dans cet épisode, Gabrielle Samson, spécialiste de la lacto-fermentation, explique comment cette technique ancestrale s’inscrit aujourd’hui dans l’alimentation santé et le bien-être. Elle partage sa passion pour les aliments vivants, riches en probiotiques, enzymes, vitamines et postbiotiques, qui soutiennent la digestion, renforcent l’immunité, réduisent l’inflammation et améliorent l’énergie et l’humeur. La lacto-fermentation consiste à faire fermenter légumes, fruits, sauces ou boissons grâce à des bactéries lactiques, sans pasteurisation ni additifs, ce qui préserve et enrichit leurs nutriments.


    Gabrielle insiste sur la simplicité de cette pratique, réalisable chez soi avec peu d’outils, et recommande de commencer doucement, en intégrant de petites quantités de produits fermentés dans chaque repas. La fermentation permet aussi de réduire la sensibilité aux lectines et d’améliorer la tolérance alimentaire. Gabrielle évoque également la relation entre fermentation et microbiote, rappelant que des habitudes alimentaires riches en aliments fermentés favorisent une flore intestinale équilibrée, essentielle à la santé globale, à la gestion du poids, et à la prévention de nombreuses maladies chroniques.


    Elle propose un cours en ligne pour apprendre à faire ses propres aliments fermentés, tout en soulignant leur côté économique et contrôlable. Elle recommande également d’éviter les produits pasteurisés achetés en magasin, souvent sucrés ou contaminés par des additifs.


    En conclusion, la lacto-fermentation apparaît comme une méthode simple, naturelle, et puissante pour nourrir le microbiote, améliorer la digestion, booster la vitalité et honorer la sagesse de nos ancêtres dans une approche moderne de santé durable.


    L'astuce de la semaine est présentée par Gabrielle Samson, mais il faut écouter l'épisode pour la connaître!


    Les messages clés de l’épisode sont :

    1. La lacto-fermentation, c’est l’une des meilleures techniques de conservation au monde, parce qu’elle ne détruit rien — elle transforme. (reprise) Au lieu de tuer les nutriments avec la chaleur ou la pasteurisation, elle les préserve, les enrichit: ça boost le potentiel enzymatique, vitamines, probiotique et post-biotique des aliments tout en les rendant plus digestes, plus nutritifs et remplis de bonnes bactéries vivantes.

    2. C’est pas compliqué! On peut le faire soit même avec des ingrédients et des outils très simples.

    3. Commencez doucement et variez vos aliments!


    Vous avez aimé cet épisode? Continuez votre découverte avec deux invitations gratuites pour explorer concrètement l’alimentation vivante et anti-inflammatoire :


    Atelier gratuit : Introduction à la lacto-fermentation et à la déshydratation

    Découvrez comment préserver l'abondance des récoltes tout en soutenant votre microbiote et votre vitalité! Gabrielle vous montre, pas à pas, comment ces deux techniques simples et naturelles peuvent transformer votre santé… et vos repas.

    👉 Inscrivez-vous à l’atelier gratuit ici : https://www.gabriellesamson.com/promo/inscrivez-vous-atelier-gratuit-lacto-dehy-svm/


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    48 min
  • E97 : Qu' est-ce que la médecine fonctionnelle
    Oct 7 2025

    Nous recevons Dre Anne-Isabelle Dionne, médecin de famille certifiée en médecine fonctionnelle. Dre Dionne explique que cette approche se distingue de la médecine conventionnelle en visant à traiter la cause profonde des maladies plutôt que seulement les symptômes, en adoptant une démarche globale et personnalisée. La médecine fonctionnelle intègre des stratégies non-médicamenteuses, notamment l’alimentation, l’activité physique, le sommeil et le bien-être psychologique, pour améliorer la santé à long terme. Dre Dionne, forte de son expérience en soins intensifs, a choisi cette voie pour offrir une prise en charge préventive, accessible via la télémédecine à une clientèle variée.


    L’épisode définit la médecine fonctionnelle, évoque ses principes fondamentaux, ses différences avec les approches classiques, et clarifie ce qu’elle n’est pas. Les intervenantes insistent sur la nécessité d’attendre des suivis centrés sur la compréhension des causes et non la simple suppression des symptômes. Elles abordent également les formations disponibles. L’épisode présente des données probantes soutenant cette pratique, comme celles publiées dans le JAMA.


    Les messages clés de l’épisode sont :

    1. La médecine fonctionnelle privilégie une approche globale et personnalisée pour identifier et traiter la cause profonde des troubles de santé, plutôt que de simplement soulager les symptômes.

    couper intervention d’Èvelyne ici

    2. Adopter des habitudes de vie saines, comme une alimentation équilibrée, la gestion du stress, le sommeil, et l’activité physique, peut aider à prévenir de nombreuses maladies chroniques et améliorer durablement votre santé.

    3. Prendre soin de sa santé ne nécessite pas toujours des traitements complexes : de petits changements quotidiens, appliqués avec intention, peuvent avoir un impact significatif sur votre bien-être et votre longévité.


    Si vous désirez prendre rendez-vous avec Dre Anne-Isabelle Dionne, pour une rencontre en personne à St-Bruno-de-Montarville ou en télémédecine de partout au Québec : https://www.clinique-cmie.com/fr/medecine-dexpertise/clinique-de-medecine-fonctionnelle-2/



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    43 min
  • E96 : L'environnement obésogène, la véritable raison pour laquelle nous prenons du poids
    Sep 30 2025

    L’environnement moderne, qualifié d’obésogène, joue un rôle clé dans l’épidémie d’obésité. Contrairement à la croyance que la prise de poids est simplement une question de volonté, les données montrent que l’obésité résulte principalement d’un environnement social, culturel et alimentaire qui favorise la surcharge pondérale. Historiquement, jusqu’aux années 1970, la majorité des personnes avaient un mode de vie beaucoup plus actif avec peu d’aliments ultra-transformés et des portions modérées. Aujourd’hui, la consommation caloriques a plus que doublé, en raison de portions énormes, de la disponibilité constante d’aliments riches en calories, et de la prédominance des produits ultra-transformés, riches en graisses, sucres et additifs.

    Les régions des États-Unis illustrent parfaitement cette influence environnementale : par exemple, le sud-est avec ses régimes riches en friture et en boissons sucrées affiche des taux d’obésité très élevés, alors que la Californie, privilégiant une alimentation locale et peu transformée, enregistre des taux bien plus faibles. La modélisation sociale et l’effet groupe jouent aussi un rôle majeur. Des études montrent que l’obésité peut se propager comme une maladie contagieuse, par imitation ou influence des comportements des proches. La perception selon laquelle l’obésité dépend uniquement du contrôle individuel est une erreur. La société, la disponibilité de produits ultra-transformés, et les normes sociales façonnent nos habitudes.

    L’augmentation de la fréquence des repas quotidiens, la consommation de snacks, et la publicité pour des aliments pauvres en nutriments contribuent à cette crise. La dépendance alimentaire et la commercialisation de produits peu sains exacerbent la situation, notamment chez les jeunes, avec plus d’enfants obèses que sous-alimentés à l’échelle mondiale.

    Pour lutter contre ce problème systémique, il faut agir sur l’environnement social et alimentaire, en construisant des communautés solidaires et en modifiant les normes sociales. S’entourer de personnes partageant des objectifs sains, participer à des groupes ou des programmes comme Transforma ou Notre Espace Membre permet de renforcer la motivation. La clef réside donc dans la reconnaissance du rôle majeur de l’environnement pour adopter des habitudes durables et préserver la santé à long terme.

    Les messages clés de l’épisode sont :

    1. L’obésité ne repose pas uniquement sur la volonté individuelle, mais est largement influencée par l’environnement social, culturel et alimentaire.

    2. Les normes sociales, la disponibilité des aliments ultra-transformés et les habitudes sociales ont un impact majeur sur nos comportements alimentaires et notre poids.

    3. L'effet social fonctionne aussi dans le sens positif : s’entourer d’un groupe motivé et solidaire facilite la mise en place de comportements sains durables.

    4. Pour changer ses habitudes et maintenir un mode de vie sain, il est essentiel de prendre conscience de l’impact de l’environnement et de favoriser les liens avec des personnes partageant vos objectifs.


    Transforma : www.transforma.fit


    Notre Espace membre : https://plateforme.solutions-sante.ca/subscription/notre-espace-membre


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    35 min
  • E95 : Les mythes tenaces sur l'alimentation faible en glucides
    Sep 23 2025

    L’épisode 95 aborde la réduction thérapeutique des glucides, en clarifiant les mythes et en présentant des données scientifiques solides. Aujourd’hui, cette approche, notamment l’alimentation faible en glucides et cétogène, est reconnue par d’importants organismes comme l’American Diabetes Association ou Diabetes Canada, comme option valable pour gérer le diabète de type 2 et d’autres maladies métaboliques.


    Les études cliniques montrent que ces bénéfices sont reproductibles, durables, avec peu d’effets secondaires transitoires comme la « keto flu », facilement gérables par une bonne hydratation et une supplémentation en électrolytes.


    Un mythe courant est que l’organisme a besoin de glucides, mais la physiologie montre que le corps peut produire tout le glucose nécessaire par gluconéogenèse, s’appuyant sur les protéines, les graisses et d’autres substrats. La consommation de glucides n’est donc pas indispensable, sauf pour certaines cellules spécifiques, comme les globules rouges, mais cela ne justifie pas une consommation systématique.

    L’alimentation faible en glucides est aussi flexible : elle ne nécessite pas forcément beaucoup de viande, est adaptée à différents budgets, et peut s’intégrer dans un régime méditerranéen ou végétal. De plus, cette approche n’est pas opposée à la santé environnementale ou au bien-être animal : la question du impact écologique de la viande, notamment bovine, est souvent surévaluée et dépend de l’élevage et des pratiques agricoles.


    Sur le plan médical, plusieurs études montrent que cette alimentation n’est pas uniquement temporaire ou restrictrice. Elle favorise la satiété grâce à la richesse en protéines et graisses, facilite la stabilité glycémique, limite la prise de poids, et permet souvent de réduire ou arrêter certains médicaments, notamment dans le cas du diabète. Elle ne présente pas de risques majeurs pour le rein ou la thyroïde chez les personnes en bonne santé, à condition qu’elle soit bien équilibrée.


    Enfin, la réduction des glucides ne signifie pas déséquilibre alimentaire : une alimentation faible en glucides bien formulée inclut légumes, protéines de qualité, bonnes graisses et micronutriments, souvent plus riche en certains nutriments essentiels que les régimes classiques. Elle apparaît comme une option durable, efficace, soutenue par la recherche, à intégrer dans une approche personnalisée du traitement ou de la prévention des maladies chroniques.


    En résumé, la réduction thérapeutique des glucides est une stratégie à considérer sérieusement, sans dogmatisme, pour améliorer la santé métabolique et réduire la prévalence des pathologies liées au mode de vie.


    Les messages clés :

    1. Les alimentations pauvres en glucides sont désormais reconnues comme des outils thérapeutiques valides pour gérer plusieurs maladies chroniques liées au style de vie.

    2. Les effets secondaires transitoires sont généralement bénins, gérables par une bonne préparation.

    3. Les glucides ne sont pas essentiels au fonctionnement de l’organisme.

    4. L’alimentation faible en glucides peut être durable, rassasiante, nutritive et permettre une amélioration significative des marqueurs de santé cardiométaboliques.


    Webinaire Santé Méta :

    https://premium.nouvelle-page-sante.com/npaesme004-replay-live/index.html?source=NPA737830001


    Transforma : programme complet de perte de poids avec app, entraînements et méditations ~777$CAD

    Santé Méta : programme simplifié pour optimiser la santé métabolique ~170 euros


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    51 min
  • E94 : Pourquoi le sucre nous fait manger plus
    Sep 17 2025

    L’épisode explore pourquoi les aliments à indice glycémique élevé, riches en sucres ou en glucides rapides comme les céréales sucrées, le pain blanc ou le riz blanc, favorisent la faim et la suralimentation. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, un repas de même valeur calorique peut avoir des effets très différents selon l’indice glycémique des aliments qui le composent. Ex : un déjeuner à IG élevé entraîne une augmentation de 81 % de la consommation calorique plus tard dans la journée par rapport à un déjeuner à IG faible.


    Au Québec, les déjeuners sont souvent composés de pain, bagels, céréales sucrées, gruau ou muffins, des aliments qui élèvent rapidement la glycémie. Cette habitude contraste avec d’autres pays où le déjeuner n’est pas un repas distinct et peut être identique aux repas principaux. Les croyances anciennes selon lesquelles les œufs augmentent le cholestérol ont contribué à marginaliser les repas protéinés le matin, alors qu’en réalité ils procurent une meilleure satiété.


    L’indice glycémique (IG) classe les aliments selon leur capacité à élever la glycémie : élevé pour le pain blanc ou les pommes de terre, faible pour les légumes verts, lentilles ou petits fruits. Toutefois, l’IG ne dit pas tout, car il ignore la charge glucidique. Une tasse de riz blanc (IG élevé) et une tasse d’avoine à cuisson lente (IG faible) contiennent toutes deux une trentaine de grammes de glucides nets, ce qui entraîne une sécrétion d’insuline similaire. Ainsi, au-delà de l’IG, la quantité totale de glucides et l’effet sur l’insuline sont essentiels pour comprendre l’impact métabolique.


    Une étude pionnière menée en 1999 par David Ludwig sur des adolescents obèses a montré que, malgré des repas isocaloriques, ceux à IG élevé provoquaient une hausse massive de l’insuline, une chute du glucagon et un retour rapide de la faim. Les participants consommaient 81 % de calories supplémentaires après un petit déjeuner à IG élevé, et 53 % de plus qu’après un déjeuner à IG moyen. Ces repas réduisaient aussi la disponibilité des acides gras circulants, privant le corps d’une source d’énergie alternative, et augmentaient les signaux de faim mesurés subjectivement. L’effet global de la glycémie expliquait plus de la moitié de la variabilité de l’apport calorique ultérieur.

    Le mécanisme est clair : absorption rapide du glucose → pic d’insuline → chute rapide de la glycémie → état perçu de déficit énergétique → activation d’hormones contre-régulatrices (adrénaline, hormone de croissance) → faim accrue et risque de suralimentation. Cela explique pourquoi les régimes faibles en gras, riches en glucides transformés, ont échoué à enrayer l’obésité.


    Le message central est que toutes les calories ne sont pas équivalentes : 400 cal. de gruau sucré n’agissent pas comme 400 cal. d’omelette. Pour maintenir la satiété et réduire les risques de suralimentation, il est préférable de privilégier des repas à IG bas et faibles en glucides. Les auteurs rappellent aussi l’importance de sensibiliser les enfants à des déjeuners non sucrés et proposent des alternatives comme l’omelette, le yogourt grec nature avec noix, un smoothie protéiné ou un pudding de chia.


    Les messages clés :

    1. L’indice glycémique permet de savoir comment un aliment va affecter la glycémie. C’est un outil utile mais incomplet.

    2. La teneur en glucides des aliments, peu importe leur indice glycémique, est tout aussi importante car c’est elle qui va déterminer la quantité totale d’insuline qui sera sécrétée. L’insuline est l’hormone maîtresse du stockage des graisses.

    3. Manger un déjeuner à indice glycémique élevé peut donner faim plus rapidement en matinée et peut nous faire consommer beaucoup plus de calories pendant le reste de la journée.

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    24 min
  • Épisode 93 : Le soleil et les écrans solaires
    Jun 17 2025

    Nous parlons des rayons UV du soleil, des 6 différents types de peau, du photovieillissement, des cancers de peau, et de la crème solaire. En particulier, nous discuterons des différences entre les écrans chimiques et les minéraux et de comment faire l’auto-surveillance des lésions de sa propre peau.

    Notre tout nouveau programme de perte de poids appelé Transforma est entièrement en ligne et vise à vous aider à optimiser votre santé métabolique tout en retrouvant votre poids santé. Rendez-vous sur www.transforma.fit pour le webinaire gratuit qui explique le programme de manière plus complète et sans engagement.

    Rayons UV (ultra-violets) sur la peau


    Vitamine D, le magnésium et les rayons UV


    6 types de peau selon l'échelle Fitzpatrick et pourquoi connaître son type

    Photovieillissement


    3 des types de cancers de la peau

    Salons de bronzage

    Les tatouages

    Dépistage et auto-surveillance


    Total Body Photography: DermaSensor

    L’ABCDE

    Écrans solaires : chimiques et minéraux

    L’indice de protection solaire ou SPF et l’UPF


    L’indice UV

    L’astuce de la semaine : l faut écouter l'épisode pour la connaître!

    Les messages clés de l’épisode sont :

    1. Les rayons UV augmentent les risques de développer des carcinomes de la peau, mais le lien entre le soleil et le mélanome est moins clair.

    2. Le soleil fait bronzer, ce qui est bien pour la production de vitamine D, mais fait aussi vieillir notre peau plus rapidement. On ne veut pas éviter le soleil, mais on veut un équilibre et utiliser des vêtements et des écrans solaires pour diminuer les risques.

    3. Il est important de bien connaître son type de peau et de tenir compte des autres facteurs comme l’altitude, la latitude, et l’indice UV du jour pour choisir un écran solaire adéquat.

    4. Il existe des écrans solaires chimiques, pouvant potentiellement contenir des perturbateurs endocriniens, et des écrans minéraux, qui sont considérés comme sécuritaires et efficaces.

    5. Le plus important est d’utiliser un écran solaire que l’on aime et que l’on va accepter de porter.

    En terminant ce 93e épisode de Santé-vous mieux!, nous aimerions vous aviser que, contrairement à l’été dernier, nous allons faire relâche cet été et repartir avec une 3e saison dès septembre 2025. Ça vous donne tout l’été pour écouter les épisodes que vous avez ratés ou réécouter vos préférés. Ça vous donne aussi le temps de vous ennuyer de nous, et de revenir fidèle au poste dès la rentrée.

    Nous vous donnons rendez-vous en septembre 2025 pour une 3e saison de Santé-vous mieux!



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    43 min
  • Épisode 92 : Palmarès de nos meilleurs livres en santé métabolique
    Jun 11 2025

    Aujourd’hui, nous partageons avec vous notre palmarès des livres portant sur la santé métabolique que nous trouvons les plus utiles.


    Avant d’aller plus loin, nous aimerions vous mentionner que nos deux livres “Le Grand livre du jeûne” et “La cuisine méditerranéenne métabolique”, tous deux des bestsellers au Québec, sont disponibles sur notre boutique en ligne. Rendez-vous sur cuisinemed.com pour les commander. En passant, vous verrez dans notre boutique plusieurs des livres dont nous allons parler aujourd’hui. On les aime tellement qu’on a obtenu quelques exemplaires de notre éditeur français, Thierry Souccar, pour les rendre plus accessibles au Québec.


    1. Nourrir son cerveau, soigner son mental de Dre Georgia Ede, psychiatre américaine.


    Pourquoi lire ce livre ?

    1. Parce que ça apporte une perspective innovante

    2. Des solutions concrètes

    3. Une approche personnalisée

    4. Des témoignages inspirants


    Les 4 messages clés du livre

    2. Résistance à l’insuline, L’ennemi invisible à l’origine de 90% des maladies chroniques, et comment le combattre


    Pourquoi lire ce livre ?

    1. Comprendre une cause fondamentale des maladies modernes

    2. Accéder à des informations scientifiques vulgarisées

    3. Obtenir des conseils pratiques et applicables

    4. Adopter une approche proactive de la santé


    Les 4 messages clés du livre


    3. Code obésité de Dr Jason Fung


    Pourquoi lire ce livre ?

    1. Remettre en question les idées reçues

    2. Comprendre le rôle de l'insuline

    3. Découvrir le jeûne intermittent

    4. Adopter une alimentation adaptée


    Les 4 messages clés du livre


    4. Les livres de Dre Sylvie Demers sur les hormones pour les femmes en périménopause ou en ménopause. On parle ici des bestseller Hormones au féminin : repensez votre santé (2008), de Hormones féminines et cholestérol : alliés insoupçonnés de votre santé cardiovasculaire (2022), et de Prévenir et traiter le cancer du sein : le pouvoir des hormones féminines (2024)


    Pourquoi lire ces livres ?

    1. Avant toute chose, parce que les hormones sexuelles font partie de la santé métabolique

    2. Démystification des hormones féminines

    3. Approche basée sur des données probantes

    4. Promotion de l'hormonothérapie bioidentique

    5. Vision holistique de la santé féminine


    Les 4 messages clés des livres de la Dre Demers


    5. Accro à la bouffe


    Pourquoi lire ce livre ?

    1. À notre avis, il est important de comprendre la dépendance alimentaire parce que de plus en plus de gens semblent en souffrir et que cela affecte énormément la capacité des individus atteints à avoir une bonne santé métabolique, mais aussi mentale.

    2. Certains aliments, notamment ceux riches en sucre, peuvent provoquer une dépendance similaire à celle des substances psychoactives.

    3. Témoignages inspirants

    4. Approche basée sur la science


    Les 4 messages clés du livre



    Un bonus, dont il fallait absolument parler (dévoilé dans l'épisode)


    C’est maintenant l’heure de l’astuce de la semaine : il faut écouter l'épisode pour la connaître!






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    30 min
  • Épisode 91 : Tout sur les saunas, êtes-vous fait pour le chaud?
    Jun 3 2025

    Aujourd’hui, nous parlons de thermothérapie par le chaud, c’est-à-dire de sauna, et non pas d’aller sur les plages de Cancún, quoiqu’on n’a aucun doute que pour certains d’entre nous, et on s’inclut là-dedans, la plagethérapie, c’est sûr que ça ferait du bien! Mais pour aujourd’hui, on va se concentrer sur les saunas, leurs bienfaits et ce qu’en dit la science et la physiologie humaine.

    Mais avant d’aller plus loin, nous voulons vous donner des nouvelles de notre tout nouveau programme de perte de poids en ligne qui s’appelle Transforma et que des centaines de participants ont commencé depuis le 1er mai, à l’occasion de l’ouverture officielle du programme. À date, les commentaires sont très positifs, plusieurs personnes rapportent déjà des pertes de poids de 5 à 20 livres, avec plus d’énergie et une meilleure compréhension de la façon dont le métabolisme fonctionne. Évidemment, chaque personne est unique et aucun programme de perte de poids ne peut garantir à 100% que tout le monde perdra du poids, sainement et efficacement, mais nous sommes suffisamment confiantes envers notre programme que nous offrons une garantie de satisfaction ou un remboursement complet. Certaines conditions s’appliquent. Vous voulez en savoir plus? Rendez-vous sur www.transforma.fit pour visionner notre webinaire gratuit et voir si c’est le bon programme pour vous.

    Les racines culturelles du sauna


    Les critères de Bradford Hill pour analyser la solidité des associations observées dans les études épidémiologiques.


    Les bienfaits soutenus par la science


    Santé cardiovasculaire


    Santé cognitive

    Effets étendus : mortalité, performance physique, sommeil, santé mentale et douleur


    Les limites des études existantes


    Les mécanismes impliqués (systèmes cardiovasculaire, nerveux, endocrinien, immunitaire et cellulaire)


    * Vasodilatation périphérique

    * Transpiration abondante

    * Activation du système nerveux autonome , avec une augmentation transitoire de la fréquence cardiaque et du débit cardiaque, comparable à ce qu’on observe lors d’un exercice physique modéré

    * Réduction du métabolisme basal, ce qui induit une profonde relaxation.


    Amélioration de la résilience des organes

    L’hormèse et les réponses adaptatives


    Les principales adaptations induites

    * Production accrue de protéines de choc thermique

    * Stimulation du facteur neurotrophique dérivé du cerveau (BDNF)

    * Amélioration de la sensibilité à l’insuline

    * Biogenèse mitochondriale


    Effets hormonaux : Noradrénaline (ou norépinéphrine), bêta-endorphines, hormone de croissance (GH), prolactine


    Stress oxydatif contrôlé et fonctions vasculaires


    Effets anti-inflammatoires et immunitaires


    Petit guide pratico pratique pour une utilisation optimale

    C’est maintenant l’heure de l’astuce de la semaine : il faut écouter l'épisode pour la connaître

    Les messages clés de l’épisode sont :

    1. Le sauna est une pratique ancestrale à visée thérapeutique et sociale, ancrée dans de nombreuses cultures.

    2. Les bienfaits attribués au sauna sont nombreux, mais souvent corrélatifs : il faut distinguer l’association de la causalité.

    3. Les bienfaits physiologiques du sauna sont biologiquement plausibles et impliquent des mécanismes adaptatifs puissants.

    4. L’effet du sauna résulte d’une synergie entre le stress thermique, la réponse hormonale et les facteurs sociaux.



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    41 min