Canadian Fiction

Billie tombera tête première amoureuse d'un cycliste prodige aux cheveux trop blonds. C'est un premier grand été pour son cœur d'adolescente: celui-ci va se briser, mais ça ne fera pas si mal. Il y aura des baisers dans une glissade d'eau, beaucoup de crème solaire, du baume à lèvres à saveur de Coke et des frites pleines de ketchup. Billie Lou, c'est aussi et surtout un regard sur la séduction et la tentative de comprendre un garçon fascinant, mais un peu compliqué.

Pauvre Hope Randall : elle est née dans une famille où chaque membre reçoit sa propre vision de la fin du monde, accompagnée d’une date précise, différente pour chacun. De quoi alimenter plus d’un manuel d’histoire de la psychiatrie. Prévenue que l’apocalypse aurait lieu à l’été 1989, sa mère a cherché à fuir son destin en Lada, pour échouer à 1200 kilomètres de Yarmouth. Parties pour l’Ouest, mère et fille n’ont d’autre choix que d’attendre l’inévitable dans le bas du fleuve.

Zacharie, Mya et Ko Than sont en route vers le Myanmar lorsque les moteurs de leur avion tombent en panne. Le pilote n’a pas le choix : il doit faire un amerrissage forcé, en plein coeur de la mer d’Andaman.

1930s, Hogan's Alley—a thriving Black and immigrant community located in Vancouver's East End. Junie is a creative, observant child who moves to the alley with her mother, Maddie: a jazz singer with a growing alcohol dependency. Junie quickly makes meaningful relationships with two mentors and a girl her own age, Estelle, whose resilient and entrepreneurial mother is grappling with white scrutiny and the fact that she never really wanted a child. As Junie finds adulthood, her mother sinks further into the bottle while the thriving neighborhood—once gushing with potential—begins to change.

De la classique balle dans la tête à la délicate asphyxie au monoxyde de carbone, en passant par l’éreintant étranglement et la dangereuse torche humaine, Hubert Quentin a imaginé mille et une façons de tuer le courtier qui l’a bêtement arnaqué. Mais comment ce scénariste qui a bâti sa fortune en élaborant les crimes les plus perfides a-t-il pu se faire dépouiller par un escroc aussi minable? Un enquêteur de la SQ et un avocat véreux le suspectent d’être responsable de la disparition de celui qui l’a floué.

Dan Ainslie, a brilliant doctor working with the miners of his native Cape Breton Island, is forty-two and deeply in love with his wife. Longing for the son he can never have, he comes to love the young Alan MacNeil, whose father deserted him and his mother several years before. Alan's father's return brings tragedy to those around him.

Sans le vouloir, j'avais commis le crime parfait : personne ne m'avait vu venir, à part la victime. La preuve, c'est que je suis toujours en liberté. C'est dans le hall d'un aéroport que tout a commencé. Il savait que ce serait lui. La victime parfaite. Le coupable désigné d'avance. Il lui a suffi de parler. Et d'attendre que le piège se referme. C'est dans le hall d'un aéroport que tout s'est terminé. De toute façon, le hasard n'existe pas.

C’est sur un train qui sillonnait les régions reculées du nord de l’Ontario qu’est née Gladys. Avec sa fratrie et les enfants de la forêt côtoyés au fil des haltes, elle a vécu sur les rails des années de pur ravissement. A rencontré l’amour. « Quand on a connu le bonheur, il est impossible de croire qu’il n’est plus possible. »

Growing up on the Bay of Fundy, Azuba Galloway dreams of going to sea. She watches magnificent ships slowly making their way into Whelan’s Cove, the sense of exoticism bursting from their holds along with foreign goods. As a young woman, Azuba marries a seasoned merchant sea captain, Nathaniel Bradstock. Unwilling to have him away at sea for most of their married life, and anxious to see far shores, she extracts a promise that he will take her with him. But Azuba becomes pregnant soon after they marry, and Nathaniel knows too well the perils of life on a ship.

Searching for meaning in her Montreal life, Marthe begins an intense friendship with an older woman, also from Newfoundland, who tells her a story about purpose, about a duty to fulfill. It's back home, and it goes by the name of Jane. Marthe travels back to a small community on the island with the older woman to continue the work of an underground movement in 60s Chicago: abortion services performed by women, always referred to as Jane. She commits to learning how to continue this legacy and protect such essential knowledge.

Je voulais la vérité, je l'ai eue ! Et qu'est-ce que ça a donné ? Un grand BOOM dans ma vie ! Jamais je n'aurais cru qu'apprendre la vérité bouleverserait autant le monde qui m'entoure. Mon cerveau déborde de questions ! Comment vais-je aider Tom à retrouver le sourire ? Pourquoi Cassandre refuse-t-elle de me laisser entrer dans sa vie ? Que lui est-il arrivé de si terrible pour qu'elle se braque ainsi ?

By effortlessly telling this short, intense tale in the voice of an unnamed, ungendered (and brilliantly unreliable) narrator, Dionne Brand makes a bold statement not only about love and personhood, but about race and gender—and what can and cannot be articulated in prose when the forces that inhabit the space between words are greater than words themselves. A gorgeous, profoundly moving, word—and note—perfect novel of ideas that only a great artist at the height of her powers could write.

1880, Drummond. Aimé Courchesne est bien connu dans la région, puisqu’à peu près tout le monde a recours à ses services pour traverser la rivière Saint-François vers les cantons de Wendover et de Simpson. Aimé s’enorgueillit de cette tâche, léguée de père en fils chez les Courchesne depuis la fondation du village.

Pour les membres de la famille Picard, la fin de 1945 marque les retrouvailles. Thalie rentre d’Angleterre en compagnie de sa fille Aglaé, une enfant née hors mariage. Elle retrouve sa mère Marie, esseulée depuis le décès de son époux. La veuve s’imagine déjà vivant avec sa fille et sa petite-fille, mais à quarante-cinq ans, Thalie entend conserver farouchement son indépendance. De son côté, Thomas, grièvement blessé lors du raid de Dieppe, a été rapatrié. Le retour à la vie civile lui est ardu.

Je viens d'apprendre qu'on déménage. Au moment où je suis au sommet de ma carrière de joueur de soccer! Tu imagines? Je dois laisser tomber mon équipe et recommencer à zéro... Et tu sais comment s'appelle mon futur village? BALLON! Hé oui! Mes parents trouvent que c'est parfait pour un mordu de soccer comme moi. Selon eux, c'est un signe que ce village est fait pour moi. Parce qu'à Ballon, tout le monde doit jouer au soccer, non? Moi, je ne sais pas pourquoi, mais j'ai un mauvais pressentiment....

Marvin est un garçon de quatorze ans qui se retrouve un jour, après une joute de donjon et dragon avec des amis, projeté dans le moyen-âge. Avec son BMX, ses livres scolaires et ses affaires de scoutisme, le jeune Marvin tombe du ciel et arrive dans un monde qu’il devra tenter de comprendre. Par ses connaissances modernes sur le passé et le futur, ses livres scolaires, sa capacité à lire, ses notions simples de physique et de chimie et son savoir acquis des films qu’il a intégré, Marvin devient rapidement le Mage Marvin.

Un squelette dans le placard, c’est classique. Mais un cadavre décharné dans la penderie d’un luxueux manoir de la métropole, c’est plutôt inhabituel. Le comte de Clairvaux, qui y vit discrètement dans le respect des traditions familiales, se passerait bien de ce genre de publicité.

Responsable de la section des crimes majeurs en l'absence de son supérieur, le sergent-détective Victor Lessard se voit confier la mission d'enquêter sur la mort d'un haut gradé du SPVM dont on a retrouvé la tête dans un conteneur à déchets. Formé du jeune Loïc Blouin-Dubois, de l'inimitable Jacinthe Taillon et de Nadja Fernandez, avec qui Victor partage sa vie, le groupe d'enquête qu'il dirige doit faire vite, car l'assassin a laissé un message qui annonce de nouvelles victimes.

Diane a dû faire une croix sur son mariage, mais elle a encore assez d’amour pour trente. Alors elle donne généreusement : d’abord à ses grands enfants, puis à sa meilleure amie Claudine et à ses filles, et bientôt, à toute une classe de petits qui ne demandent pas mieux, et même à Madeleine, l’adorable voisine fripée toute perdue dans sa grande maison ouverte au vent et aux chats. Ça en laisse encore assez pour un homme capable de la faire sentir comme une reine... Lady Di, ça sonne bien, non?

Depuis qu’un drame immense l’a frappé, Antoine ne supporte plus les injustices. Il lit les journaux, comme tout le monde, mais ça ne passe plus. Selon lui, les ordures s’en sortent. Presque toujours. Ce sont les gens bien qui perdent. Si seulement, juste une fois, il pouvait rectifier le pointage entre les bons et les salopards. Faire gagner les gentils. Bêtement.