Cette semaine dans "Quand la musique est bonne", on ouvre les portes du Palace avec Basile Palace, à l’occasion de la sortie de son premier album 22m2.

Un projet intime, où Basile se livre sans détours : la perte de son père, ses doutes d’artiste, l’envie de tout envoyer valser parfois mais toujours avec cette capacité rare à transformer le spleen en chanson pop, la douleur en énergie, la mélancolie en fête. Basile Palace, c’est un peu l’histoire d’un rappeur qui voulait chanter, ou d’un chanteur qui voulait rapper au choix. Entre flow ciselé et refrains entêtants, il invente un espace à lui, un refuge : 22m2 pour rêver plus grand, aimer plus fort, pleurer en dansant.

Découvrez son parcours dans ce nouveau podcast

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Cette semaine dans Quand la musique est bonne, on reçoit Cenzo, jeune artiste originaire de Tahiti, qui vient de sortir son tout premier EP : Les papillons dorment en hiver.

Arrivé en France à 18 ans sans repère, il a tout construit à force de passion, d'intuition et de travail : des scènes de Bordeaux jusqu’à la Star Academy, des morceaux écrits en solo jusqu’à l’entourage fidèle qui l’accompagne aujourd’hui. Dans cet EP intime et sincère, Cenzo explore les montagnes russes d’une rupture, les doutes, les élans, les sacrifices aussi. Entre influences pop anglo-saxonnes, variété française et mélodies lumineuses, il trace une voie singulière : la sienne.

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Cette semaine dans Quand la musique est bonne, on reçoit The Doug pour parler de son EP "Grandes surfaces", un projet brut, tendre et lucide.

Avec ses mots qui cognent juste, The Doug rend hommage aux lieux de nos vies de galériens : le Leader Price, le lycée bordélique, la boîte de nuit où on revient toujours, le McDo, les stades, les cinés à pas cher… Des espaces souvent moqués ou ignorés, mais où se tissent nos souvenirs, nos galères, nos joies et nos amours.

Il y parle de classe sociale, de survie, de liens, sans misérabilisme ni romantisation. Juste avec sincérité. Comme il le dit lui-même : « J’essaie d’apporter une vision naturaliste à mes chansons. Je rends hommage à nos bonheurs de prolos et de laissés pour compte. »Grandes surfaces est dispo partout.

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Anjaa est l’invitée de cet épisode de "Quand la musique est bonne".

Autrice-compositrice-interprète, elle dévoile son tout premier EP « Les Météores », un projet de pop indé sensible et lumineux, né quelque part entre l’Inde et la France, entre souvenirs d’enfance et introspection d’adulte. À travers cinq titres, elle explore les mouvements de l’âme, les allers-retours entre l’ombre et la lumière, la difficulté d’aimer ou de se sentir à sa place. Des mélodies entêtantes, des textes bruts, une énergie sincère : Anjaa transforme ses fêlures en chansons, ses silences en refrains. Dans le podcast, elle raconte la naissance de ce projet, ses inspirations, et cette envie d’écrire pour dire ce qui ne se dit pas. L’EP « Les Météores » est disponible sur toutes les plateformes, et l’épisode en réécoute sur vos applis de podcast.

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Nouvelle ère pour Philippine : « CARDIO DRAME » est sorti !

Après avoir conquis des millions de cœurs avec des titres comme Always (50 millions de streams) ou C’est beau c’est toi, Philippine Off revient avec un projet à son image : à la fois puissant, sensible, et résolument pop. « CARDIO DRAME », c’est le battement de cœur d’une artiste libre, audacieuse et hyperactive, qui ose tout : de l’écriture à la production, Philippine a tout pris en main pour façonner un album sans compromis.

On y retrouve son énergie débordante dans des morceaux pop modernes, influencés par ses années à Toronto et les sonorités de Dua Lipa ou Olivia Rodrigo. Le single Cardio en est le parfait exemple : un hymne percutant qui donne envie de courir, danser et vivre à 100 à l’heure. Mais Philippine, c’est aussi cette hypersensibilité qui nous touche droit au cœur. Dans des titres plus tendres comme On dort, elle met des mots sincères sur l’amour et la séparation, sans filtre ni détour.

Envie d’en savoir plus ? Philippine était au micro d’Elsa dans ce podcast, elle y parle de la naissance de ce nouvel album, de ses inspirations et de son envie de tout reprendre en main. « CARDIO DRAME » est disponible partout. À écouter sans modération !

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Après son premier EP « Si j’meurs demain » sorti début 2024 en totale autoproduction, Bey revient avec un nouveau projet plus affirmé et une équipe naissante autour de lui.

« Pas si différent », c’est un projet en deux volumes aux visages contrastés. Le premier choisit la lumière : une lumière brute, pas naïve, portée par un espoir franc et parfois fragile. À travers 5 titres, Bey transforme ses questionnements en hymnes rock/emo qui rassemblent et donnent envie de croire encore, malgré le chaos. Une musique instinctive, puissante et sensible, qui capte l’énergie d’une génération qui veut vivre plus fort, même quand tout vacille.

Parmi ces titres, « Faire un tour » se pose en véritable archétype aventurier : sur un « papalala » entêtant, Bey devient le porte-voix d’une jeunesse désabusée mais pas désespérée. Un texte brut et fédérateur qui contraste avec une production pop/rock nourrie par l’âge d’or du rock FM. Un morceau comme une envie de couper le moteur du quotidien pour ressentir, hurler et partager, le temps d’un tour.

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Ils chantent en français et en italien, mais leur message est universel : Et si on arrêtait de faire semblant ?

Avec leur énergie brute et sans filtre, Doppelhandel débarque avec un EP aussi dense qu’organique, entre rock abrasif, impulsions 80s et refus du compromis. Une musique rugueuse, libre, qui fait danser les failles et crie dans les angles morts de notre époque.

Entre rock italien, touches enfantines à la Rita Mitsouko, et vibe ludique façon Metronomy, le morceau "Pas Travailler" pose une vraie question existentielle : Pourquoi travailler quand on pourrait lézarder au soleil ?

L’EP, quant à lui, est un voyage intérieur dans l’inconfort du monde, une tentative sincère de transformer le décalage en force. C’est punk dans l’âme, pop dans l’énergie, sombre et lumineux à la fois. Doppelhandel ne cherche pas à plaire. Ils cherchent à dire. Et ils le font fort.

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Entre la douceur d’une nuit d’été et la tension d’un cœur trop plein, Liquid Jane trace sa route. Derrière ce nom mystérieux, il y a Jeanne Carrion, autrice-compositrice-interprète marseillaise, diplômée du conservatoire d’Aix-en-Provence et connue pour ses multiples projets musicaux. Aujourd’hui, elle avance seule, mais entourée d’une équipe complice, pour dévoiler un projet aussi sensible qu’intense.

“Trop tôt ou trop tard”, c’est un premier EP en forme de carnet intime, écrit dans l’intimité de son appartement, peaufiné avec ses acolytes de toujours. Une œuvre qui parle d’amour, de désir, de désillusions, de temps qui file et de regards qu’on oublie trop vite. Le tout dans un écrin de soul nébuleuse et de pop douce, influencée par King Krule, Bonnie Banane, Les Louanges ou Sharon Jones.

"Courir après le temps qui passe à toute vitesse, regarder défiler les gens. Aimer un instant pour un jour aimer pour toujours…" Liquid Jane chante en français et en anglais, navigue entre lumière et pénombre, et dévoile les premières cartes d’un jeu aussi tendre qu’élégant. Ce n’est ni trop tôt, ni trop tard. C’est maintenant.

Écoutez "Trop tôt ou trop tard", disponible dès aujourd’hui sur toutes les plateformes.

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