Description

Géopolitique Profonde décrypte l’actualité à travers des thèmes tels que la Débancarisation, la Finance, l’Or, l’Argent métal, les Cryptomonnaies, la Dédollarisation, la Multipolarité, le Pouvoir profond…La ligne éditoriale du site est strictement indépendante ce qui nous permet de traiter nos sujets avec une saine radicalité critique.Allez voir notre site internet pour en savoir plus : www.geopolitique-profonde.com

© 2025 GÉOPOLITIQUE PROFONDE (www.geopolitique-profonde.com)
Épisodes
  • PHILIPPOT VS ASSELINEAU : LA DERNIÈRE CHANCE POUR LA FRANCE EST-ELLE MORTE ? | GPTV
    Sep 26 2025

    Le 25 septembre à 19h, François Martin, Jean-Rémi Chevreau et Antoine Gainot étaient les invités de La Grande Émission animée par Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.

    Jean-Rémi Chevreau est un juriste spécialisé en droit des sociétés et en entreprises en difficulté. Il accompagne dirigeants et entrepreneurs dans leurs restructurations. Ingénieur d’affaires IT en finance de marché, il pilote des projets complexes en ESN. Son expertise en droit, IT et business lui confère une vision globale. Passionné de gaming, il s’intéresse aussi aux modèles économiques et innovations numériques.

    Antoine Gainot est éditorialiste à la revue « Front populaire », fondée par Michel Onfray. Il y défend la souveraineté populaire et critique les dogmes dominants, à travers des analyses politiques et sociétales sur les enjeux contemporains en France et en Europe.

    François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec 40 ans de carrière dans le commerce alimentaire international, il a acquis une expérience sur plus de 100 pays et maîtrise six langues.

    Une querelle d’egos au service de Bruxelles

    L’union souverainiste est inexistante. Dupont-Aignan et Philippot s’invectivent publiquement, Asselineau les traite aussitôt de traîtres mous. Tous revendiquent la vérité, mais aucun ne réussit à incarner une force cohérente. Leur désunion profite à Bruxelles et à l’OTAN. Ce conflit d’egos affaiblit la cause souverainiste et maintient la France sous tutelle. Le peuple attend une rupture, pendant que ses porte-paroles s’enlisent dans un théâtre d’ombres.

    Dupont-Aignan s’est discrédité par ses ralliements, Philippot par son agitation continue, Asselineau par sa rigidité doctrinale. Résultat : l’atomisation du camp souverainiste. Aucun ne veut reconnaître la nécessité d’un front commun. Chacun se présente comme unique solution, refusant toute complémentarité. Ce repli narcissique nourrit la méfiance populaire et fait le jeu du système.

    Les souverainistes jouent le jeu du système

    Derrière les discours contre Bruxelles et l’OTAN, leur incapacité à s’unir sert l’ordre établi. Les querelles télévisées et invectives mutuelles réduisent la contestation à un cirque. Les électeurs, lassés, se détournent. Le radicalisme d’Asselineau, les volte-face de Dupont-Aignan, le militantisme de Philippot ne débouchent sur aucune dynamique unitaire. Chacun reste enfermé dans un micro-parti, incapable de dépasser son ego.

    Cette agitation permanente agit comme une soupape contrôlée : elle simule la contestation, tout en empêchant l’émergence d’une alternative sérieuse. Inconsciemment, les souverainistes deviennent les meilleurs alliés du système.

    Le facteur Philippe de Villiers

    Face à ce vide, Philippe de Villiers pourrait incarner une véritable rupture. Son engagement pour le Frexit, sa stature intellectuelle et son expérience politique le distinguent des autres. Il parle au peuple, non aux appareils, et incarne une idée de nation au-delà des partis. Cela le rend dangereux pour le système, qui saura user de diabolisation et d’isolement.

    S’il reste en retrait, le camp national sombrera. Mais s’il prend la tête du mouvement, il pourrait catalyser un sursaut historique. Seul, il semble capable de transformer un rêve brisé en force réelle contre Bruxelles et ses relais.

    Support the show

    Ne vous laissez plus manipuler par des élites déconnectées du réel. Découvrez la revue mensuelle Géopolitique Profonde.

    https://geopolitique-profonde.com/

    Voir plus Voir moins
    1 h et 34 min
  • PHILIPPOT VS ASSELINEAU : L'UNION DES SOUVERAINISTES EST-ELLE IMPOSSIBLE ? | GPTV INVESTIGATION
    Sep 26 2025

    Le 25 septembre 2025 à 17h, Mike Borowski proposait un reportage de terrain pour GPTV Investigation.

    Depuis des années, le camp souverainiste en France reste fragmenté. Nicolas Dupont-Aignan, Florian Philippot et François Asselineau défendent pourtant des idées proches : sortie de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN.

    Mais au lieu d’avancer ensemble, ils se divisent, parfois violemment. Dupont-Aignan et Philippot se sont récemment opposés en direct à la radio, tandis qu’Asselineau a réaffirmé son refus d’alliance.

    Pourquoi cette division ?

    Ce camp, qui pourrait peser s’il était uni, reste éparpillé. Est-ce une question d’ego ou une divergence stratégique plus profonde ? Et surtout : que pensent les militants qui continuent de militer pour ces idées communes ?

    Nicolas Dupont-Aignan et le dilemme de l’isolement

    Nicolas Dupont-Aignan fonde Debout la République en 1999, devenu Debout la France en 2014. Député depuis 1997, ancien maire de Yerres, il s’est présenté deux fois à la présidentielle. En 2017, il surprend en ralliant Marine Le Pen au second tour, mais l’alliance échoue.

    Longtemps partisan d’une « autre Europe », il a récemment évolué vers le Frexit, estimant que la sortie de l’UE est désormais la seule option crédible. Sincère conviction ou adaptation stratégique ?

    Lors d’une réunion publique, il affirmait que « l’union viendra par la base ». Opportunisme ou maturité ? Ses partisans saluent une prise de conscience, ses détracteurs dénoncent une ligne fluctuante. Ce flou nourrit les doutes sur sa capacité à fédérer un électorat déjà méfiant.

    Florian Philippot entre radicalité et isolement

    Florian Philippot, ex-stratège du Front National, crée Les Patriotes en 2017. Il se distingue par sa visibilité dans les manifestations, notamment contre l’OTAN et les restrictions sanitaires. Sa ligne eurosceptique radicale et son activisme lui assurent une forte présence médiatique.

    Mais son style clivant divise. Une tentative d’union avec Dupont-Aignan a échoué, minée par les rivalités. Certains militants le jugent trop agressif et trop centré sur sa personne. Pourtant, ses positions sont proches de celles de ses concurrents souverainistes.

    La question se pose : pourquoi une telle incapacité à travailler ensemble ? Différences réelles ou simple refus de s’effacer ? Les militants constatent une division qui affaiblit leur cause.

    François Asselineau et le choix de l’intransigeance

    François Asselineau fonde l’Union populaire républicaine (UPR) en 2007. Haut fonctionnaire passé par les cabinets ministériels, il défend depuis toujours la sortie de l’UE, de l’euro et de l’OTAN. Sa candidature de 2017 le rend visible grâce à un discours technique et constant.

    Contrairement à ses rivaux, il rejette toute alliance. Ses militants, eux aussi, refusent tout compromis. Pour eux, Dupont-Aignan et Philippot sont des girouettes, incapables de maintenir une ligne claire.

    Ce refus est-il une force de cohérence ou une faiblesse stratégique ? Ses partisans y voient de la fidélité aux principes, ses détracteurs une posture marginalisante.

    Reste une question centrale : puisque François Asselineau fut le premier à porter le Frexit, pourquoi Philippot et Dupont-Aignan n’ont-ils pas rejoint son mouvement ? La division est-elle idéologique ou guidée par des ambitions personnelles ?

    Support the show

    Ne vous laissez plus manipuler par des élites déconnectées du réel. Découvrez la revue mensuelle Géopolitique Profonde.

    https://geopolitique-profonde.com/

    Voir plus Voir moins
    14 min
  • SCANDALE FRANCE TV : L’ARNAQUE À 120 000 € PAR JOUR ENFIN DÉVOILÉE ! | GPTV
    Sep 26 2025

    Le 25 septembre 2025 à 12h30, Mike Borowski vous donnait rendez-vous pour une émission d’actualité, en direct sur Géopolitique Profonde.

    L’argent public détourné par France Télévisions

    France Télévisions, présenté comme un service public, serait devenu une pompe à fric au service d’une caste médiatique privilégiée. Dirigeants et figures médiatiques y perçoivent des salaires exorbitants : plus de 35 000 € mensuels pour la présidente Delphine Ernotte, près de 25 000 € pour des journalistes comme Léa Salamé ou Élise Lucet.

    Mais le scandale le plus marquant est celui des frais de réception : 46 millions d’euros dépensés en 2024, soit 126 000 € par jour. Ce rythme quotidien de dépenses mondaines, selon l’émission, serait financé par les impôts des Français, alors même que l’inflation et la dette étranglent les familles. Pendant que la majorité se serre la ceinture, une minorité profiterait d’un train de vie de luxe.

    La complicité de l’État et de l’ARCOM

    L’ARCOM, autorité censée contrôler l’audiovisuel, aurait dissimulé un rapport accablant. Au lieu de défendre l’intérêt public, elle protégerait la caste médiatique et son train de vie, bloquant toute réforme.

    France Télévisions ne se contenterait pas de dilapider l’argent public, elle serait aussi accusée de partialité politique : mépris du souverainisme, attaques répétées contre le Brexit, le RN ou Trump. Delphine Ernotte serait ainsi décrite comme un rouage au service d’Emmanuel Macron. Le service public deviendrait, selon Mike Borowski, un outil de propagande pour l’Élysée.

    Tout le système — France Télévisions, ARCOM, gouvernement — fonctionnerait en vase clos, verrouillant l’information, étouffant les critiques et protégeant les privilèges. Un appareil d’État contre le peuple.

    Le déficit colossal fruit de la corruption

    La dette française, qui dépasse 3 400 milliards d’euros, résulterait moins d’un manque d’argent que d’un détournement systémique. France Télévisions n’en serait qu’un exemple emblématique. Les milliards engloutis dans ces structures expliqueraient les hôpitaux en crise, les retraites menacées, la pression fiscale écrasante.

    Le remède proposé est radical : suppression de ces dépenses jugées criminelles, audit public, saisie des biens, emprisonnement des coupables. Pour l’émission, il ne s’agit plus de demi-mesures, mais d’un combat pour la justice et la souveraineté budgétaire. L’heure serait venue de reprendre le contrôle de l’argent public.

    Support the show

    Ne vous laissez plus manipuler par des élites déconnectées du réel. Découvrez la revue mensuelle Géopolitique Profonde.

    https://geopolitique-profonde.com/

    Voir plus Voir moins
    27 min
Pas encore de commentaire