Épisodes

  • NICOLAS SARKOZY CONDAMNÉ À 5 ANS DE PRISON DANS L’AFFAIRE DU FINANCEMENT LYBIEN ! | LA MATINALE GPTV
    Sep 27 2025

    Le 26 septembre 2025 à 7h, Marc Gabriel Draghi, François Martin et Gary Laski étaient les invités de Raphaël Besliu, en direct dans la Matinale de GPTV.

    Marc Gabriel Draghi est un juriste français spécialisé dans l’histoire du droit. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur la monnaie et le capitalisme, dont Le règne des marchands du temple, Le grand reset en marche ! et La Grande Narration. Il alerte sur le projet du Forum économique mondial, qu’il juge totalitaire.

    François Martin est géopolitologue, journaliste et essayiste. Diplômé de l’ESSEC, de l’EMBA HEC, auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ, il a travaillé 40 ans dans le commerce alimentaire international sur plus de 100 pays. Il parle six langues et se distingue par ses analyses internationales.

    Gary Laski est docteur en philosophie et ancien élève de Chantal Delsol. Il développe une critique de la modernité et du pouvoir, dénonçant les formes actuelles de domination idéologique et médiatique.

    Choc judiciaire et effondrement du système

    La condamnation de Nicolas Sarkozy à cinq ans de prison ferme, dont deux ans incompressibles, marque un précédent historique. Pour la première fois, un ancien président sera incarcéré, à partir du 13 octobre 2025. Cette chute symbolise l’effondrement moral et stratégique d’une élite politique ayant trahi la nation au profit d’intérêts étrangers, notamment ceux de l’OTAN et de l’UE. L’homme qui a détruit la Libye devient l’icône d’un régime finissant. La sentence incarne l’échec d’un système incapable de répondre aux urgences du pays. Le peuple exige désormais une refondation souverainiste radicale.

    La responsabilité criminelle en Libye

    Sarkozy reste associé à la destruction de la Libye. En 2011, il engage la France dans une guerre illégale sous bannière OTAN, provoquant la chute de Kadhafi, le chaos régional, l’essor du terrorisme et une crise migratoire. Ce crime géopolitique, motivé par des intérêts étrangers, a durablement affaibli la France et l’Europe. Il doit servir de leçon : plus jamais de participation française à des guerres de changement de régime. L’atlantisme a mené à l’embrasement du Sahel, la perte de crédibilité diplomatique et la soumission aux États-Unis. Une ligne claire s’impose : défense des intérêts nationaux et refus des aventures impérialistes.

    Un réalignement mondial incontournable

    Alors que la France s’enfonce, le monde change. La Russie s’affirme, la Chine s’impose, et les États-Unis s’épuisent. L’axe des nations souveraines progresse, pendant que l’OTAN et l’UE vacillent. La France doit choisir : rester dans un bloc occidental en déclin ou redevenir une puissance libre. Cela implique : réindustrialisation, autonomie énergétique, souveraineté monétaire, maîtrise migratoire, armée forte. Fin des sanctions suicidaires et des guerres de proxy. L’affaire Sarkozy révèle une rupture systémique. La France doit redevenir une nation souveraine, forte et respectée.

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    1 h et 58 min
  • PHILIPPOT VS ASSELINEAU : LA DERNIÈRE CHANCE POUR LA FRANCE EST-ELLE MORTE ? | GPTV
    Sep 26 2025

    Le 25 septembre à 19h, François Martin, Jean-Rémi Chevreau et Antoine Gainot étaient les invités de La Grande Émission animée par Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.

    Jean-Rémi Chevreau est un juriste spécialisé en droit des sociétés et en entreprises en difficulté. Il accompagne dirigeants et entrepreneurs dans leurs restructurations. Ingénieur d’affaires IT en finance de marché, il pilote des projets complexes en ESN. Son expertise en droit, IT et business lui confère une vision globale. Passionné de gaming, il s’intéresse aussi aux modèles économiques et innovations numériques.

    Antoine Gainot est éditorialiste à la revue « Front populaire », fondée par Michel Onfray. Il y défend la souveraineté populaire et critique les dogmes dominants, à travers des analyses politiques et sociétales sur les enjeux contemporains en France et en Europe.

    François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec 40 ans de carrière dans le commerce alimentaire international, il a acquis une expérience sur plus de 100 pays et maîtrise six langues.

    Une querelle d’egos au service de Bruxelles

    L’union souverainiste est inexistante. Dupont-Aignan et Philippot s’invectivent publiquement, Asselineau les traite aussitôt de traîtres mous. Tous revendiquent la vérité, mais aucun ne réussit à incarner une force cohérente. Leur désunion profite à Bruxelles et à l’OTAN. Ce conflit d’egos affaiblit la cause souverainiste et maintient la France sous tutelle. Le peuple attend une rupture, pendant que ses porte-paroles s’enlisent dans un théâtre d’ombres.

    Dupont-Aignan s’est discrédité par ses ralliements, Philippot par son agitation continue, Asselineau par sa rigidité doctrinale. Résultat : l’atomisation du camp souverainiste. Aucun ne veut reconnaître la nécessité d’un front commun. Chacun se présente comme unique solution, refusant toute complémentarité. Ce repli narcissique nourrit la méfiance populaire et fait le jeu du système.

    Les souverainistes jouent le jeu du système

    Derrière les discours contre Bruxelles et l’OTAN, leur incapacité à s’unir sert l’ordre établi. Les querelles télévisées et invectives mutuelles réduisent la contestation à un cirque. Les électeurs, lassés, se détournent. Le radicalisme d’Asselineau, les volte-face de Dupont-Aignan, le militantisme de Philippot ne débouchent sur aucune dynamique unitaire. Chacun reste enfermé dans un micro-parti, incapable de dépasser son ego.

    Cette agitation permanente agit comme une soupape contrôlée : elle simule la contestation, tout en empêchant l’émergence d’une alternative sérieuse. Inconsciemment, les souverainistes deviennent les meilleurs alliés du système.

    Le facteur Philippe de Villiers

    Face à ce vide, Philippe de Villiers pourrait incarner une véritable rupture. Son engagement pour le Frexit, sa stature intellectuelle et son expérience politique le distinguent des autres. Il parle au peuple, non aux appareils, et incarne une idée de nation au-delà des partis. Cela le rend dangereux pour le système, qui saura user de diabolisation et d’isolement.

    S’il reste en retrait, le camp national sombrera. Mais s’il prend la tête du mouvement, il pourrait catalyser un sursaut historique. Seul, il semble capable de transformer un rêve brisé en force réelle contre Bruxelles et ses relais.

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    1 h et 34 min
  • PHILIPPOT VS ASSELINEAU : L'UNION DES SOUVERAINISTES EST-ELLE IMPOSSIBLE ? | GPTV INVESTIGATION
    Sep 26 2025

    Le 25 septembre 2025 à 17h, Mike Borowski proposait un reportage de terrain pour GPTV Investigation.

    Depuis des années, le camp souverainiste en France reste fragmenté. Nicolas Dupont-Aignan, Florian Philippot et François Asselineau défendent pourtant des idées proches : sortie de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN.

    Mais au lieu d’avancer ensemble, ils se divisent, parfois violemment. Dupont-Aignan et Philippot se sont récemment opposés en direct à la radio, tandis qu’Asselineau a réaffirmé son refus d’alliance.

    Pourquoi cette division ?

    Ce camp, qui pourrait peser s’il était uni, reste éparpillé. Est-ce une question d’ego ou une divergence stratégique plus profonde ? Et surtout : que pensent les militants qui continuent de militer pour ces idées communes ?

    Nicolas Dupont-Aignan et le dilemme de l’isolement

    Nicolas Dupont-Aignan fonde Debout la République en 1999, devenu Debout la France en 2014. Député depuis 1997, ancien maire de Yerres, il s’est présenté deux fois à la présidentielle. En 2017, il surprend en ralliant Marine Le Pen au second tour, mais l’alliance échoue.

    Longtemps partisan d’une « autre Europe », il a récemment évolué vers le Frexit, estimant que la sortie de l’UE est désormais la seule option crédible. Sincère conviction ou adaptation stratégique ?

    Lors d’une réunion publique, il affirmait que « l’union viendra par la base ». Opportunisme ou maturité ? Ses partisans saluent une prise de conscience, ses détracteurs dénoncent une ligne fluctuante. Ce flou nourrit les doutes sur sa capacité à fédérer un électorat déjà méfiant.

    Florian Philippot entre radicalité et isolement

    Florian Philippot, ex-stratège du Front National, crée Les Patriotes en 2017. Il se distingue par sa visibilité dans les manifestations, notamment contre l’OTAN et les restrictions sanitaires. Sa ligne eurosceptique radicale et son activisme lui assurent une forte présence médiatique.

    Mais son style clivant divise. Une tentative d’union avec Dupont-Aignan a échoué, minée par les rivalités. Certains militants le jugent trop agressif et trop centré sur sa personne. Pourtant, ses positions sont proches de celles de ses concurrents souverainistes.

    La question se pose : pourquoi une telle incapacité à travailler ensemble ? Différences réelles ou simple refus de s’effacer ? Les militants constatent une division qui affaiblit leur cause.

    François Asselineau et le choix de l’intransigeance

    François Asselineau fonde l’Union populaire républicaine (UPR) en 2007. Haut fonctionnaire passé par les cabinets ministériels, il défend depuis toujours la sortie de l’UE, de l’euro et de l’OTAN. Sa candidature de 2017 le rend visible grâce à un discours technique et constant.

    Contrairement à ses rivaux, il rejette toute alliance. Ses militants, eux aussi, refusent tout compromis. Pour eux, Dupont-Aignan et Philippot sont des girouettes, incapables de maintenir une ligne claire.

    Ce refus est-il une force de cohérence ou une faiblesse stratégique ? Ses partisans y voient de la fidélité aux principes, ses détracteurs une posture marginalisante.

    Reste une question centrale : puisque François Asselineau fut le premier à porter le Frexit, pourquoi Philippot et Dupont-Aignan n’ont-ils pas rejoint son mouvement ? La division est-elle idéologique ou guidée par des ambitions personnelles ?

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    14 min
  • SCANDALE FRANCE TV : L’ARNAQUE À 120 000 € PAR JOUR ENFIN DÉVOILÉE ! | GPTV
    Sep 26 2025

    Le 25 septembre 2025 à 12h30, Mike Borowski vous donnait rendez-vous pour une émission d’actualité, en direct sur Géopolitique Profonde.

    L’argent public détourné par France Télévisions

    France Télévisions, présenté comme un service public, serait devenu une pompe à fric au service d’une caste médiatique privilégiée. Dirigeants et figures médiatiques y perçoivent des salaires exorbitants : plus de 35 000 € mensuels pour la présidente Delphine Ernotte, près de 25 000 € pour des journalistes comme Léa Salamé ou Élise Lucet.

    Mais le scandale le plus marquant est celui des frais de réception : 46 millions d’euros dépensés en 2024, soit 126 000 € par jour. Ce rythme quotidien de dépenses mondaines, selon l’émission, serait financé par les impôts des Français, alors même que l’inflation et la dette étranglent les familles. Pendant que la majorité se serre la ceinture, une minorité profiterait d’un train de vie de luxe.

    La complicité de l’État et de l’ARCOM

    L’ARCOM, autorité censée contrôler l’audiovisuel, aurait dissimulé un rapport accablant. Au lieu de défendre l’intérêt public, elle protégerait la caste médiatique et son train de vie, bloquant toute réforme.

    France Télévisions ne se contenterait pas de dilapider l’argent public, elle serait aussi accusée de partialité politique : mépris du souverainisme, attaques répétées contre le Brexit, le RN ou Trump. Delphine Ernotte serait ainsi décrite comme un rouage au service d’Emmanuel Macron. Le service public deviendrait, selon Mike Borowski, un outil de propagande pour l’Élysée.

    Tout le système — France Télévisions, ARCOM, gouvernement — fonctionnerait en vase clos, verrouillant l’information, étouffant les critiques et protégeant les privilèges. Un appareil d’État contre le peuple.

    Le déficit colossal fruit de la corruption

    La dette française, qui dépasse 3 400 milliards d’euros, résulterait moins d’un manque d’argent que d’un détournement systémique. France Télévisions n’en serait qu’un exemple emblématique. Les milliards engloutis dans ces structures expliqueraient les hôpitaux en crise, les retraites menacées, la pression fiscale écrasante.

    Le remède proposé est radical : suppression de ces dépenses jugées criminelles, audit public, saisie des biens, emprisonnement des coupables. Pour l’émission, il ne s’agit plus de demi-mesures, mais d’un combat pour la justice et la souveraineté budgétaire. L’heure serait venue de reprendre le contrôle de l’argent public.

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    27 min
  • GAZA, UKRAINE, RUSSIE : L’EUROPE EST TOMBÉE DANS LE PIÈGE ! | LA MATINALE GPTV
    Sep 26 2025

    Le 25 septembre 2025 à 7h, Oskar Freysinger, Laurent Michelon et Youssef Hindi étaient les invités de La Matinale animée par Raphaël Besliu, en direct sur Géopolitique Profonde.

    Oskar Freysinger est un homme politique suisse, ancien vice-président de l’UDC et ex-élu au parlement. Il a aussi exercé la fonction de Secrétaire d’État. Aujourd’hui, il se consacre à l’écriture, à la traduction et intervient comme chroniqueur.

    Laurent Michelon est un entrepreneur français installé entre Hong Kong et Pékin depuis plus de 20 ans. Il a travaillé dans la diplomatie culturelle et pour plusieurs groupes de communication. Il est l’auteur de Comprendre la relation Chine-Occident.

    Youssef Hindi est écrivain, chercheur indépendant et historien de l’eschatologie messianique. Il étudie les origines des idéologies modernes et leur influence sur la géopolitique. Il a co-écrit Israël et la guerre mondiale des religions avec Pierre-Antoine Plaquevent.

    Pas de virage mais une facture pour l’Europe

    L’allocution de Trump à l’ONU n’annonce aucun tournant, mais confirme une stratégie claire : soutien verbal à l’Ukraine, mais sans effort américain supplémentaire. Le coût est transféré à l’Europe, sommée d’armer, acheter, former — pendant que les USA encaissent via leur industrie.

    Trump cible aussi la Chine et l’Inde pour leur soutien énergétique à Moscou, et pousse l’UE vers une guerre commerciale autodestructrice. L’Europe paie l’armement, subit l’impopularité et s’enfonce dans une triple crise : énergétique, budgétaire, industrielle.

    Palestine reconnue, Israël isolé

    Le cœur politique est à Gaza : la reconnaissance de la Palestine par Paris et Londres fissure le bloc occidental. L’impunité israélienne recule, les opinions basculent. Le désastre humanitaire met à mal l’argument sécuritaire. Ce n’est pas un “cadeau au terrorisme” mais une restitution de droit.

    Ce basculement reconfigure la diplomatie européenne et accélère l’isolement d’Israël. L’ONU voit les rapports de force changer, les votes évoluer. Washington est tiraillé entre soutien à Tel-Aviv et pression intérieure. L’UE, elle, se retrouve piégée.

    Le piège OTAN et la montée multipolaire

    La séquence confirme que l’OTAN fragilise l’Europe : elle pousse à l’escalade contre Moscou tout en externalisant les coûts. Derrière les discours, ce sont les flux d’énergie, la réindustrialisation, la démographie militaire qui comptent. Là, Moscou tient, Pékin avance, New Delhi arbitre. L’UE s’enfonce dans l’insécurité budgétaire.

    La seule voie réaliste reste le souverainisme : sortir de l’OTAN, normaliser avec la Russie, réindustrialiser. Trump révèle que les élites bruxelloises veulent la guerre sans en assumer le coût. L’illusion d’un Occident uni se dissout, ouvrant la voie à des alliances multipolaires. Reste à savoir si l’Europe saura reprendre la main.

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    2 h et 56 min
  • RÉSISTER À TOUTES LES CRISES : LES CONSEILS DE PIERO SAN GIORGIO | GPTV
    Sep 25 2025

    Le 24 septembre 2025 à 19h, Piero San Giorgio était l’invité de Mike Borowski, dans La Grande Émission de Géopolitique Profonde.

    Piero San Giorgio est un auteur suisse francophone et figure du survivalisme moderne. Ancien cadre du secteur high-tech, il s’est tourné vers l’écriture et la conférence pour alerter sur les risques d’effondrement économique et sociétal, tout en proposant des solutions d’autonomie. Parmi ses derniers ouvrages : Gros : Survivre à la malbouffe et Survivre à la peur – Tome 2.

    Fabrication de la sédentarité

    Le poison moderne arrive dans les caddies, les cantines et les écrans. La sédentarité est organisée, l’appétit manipulé, l’obésité rentabilisée. Urbanisme, écrans, malbouffe et crédit combinent pour rendre les populations fatiguées et dociles. Le corps doit redevenir un outil stratégique. L’alimentation industrielle agit comme une camisole chimique. Le mondialisme ne veut pas de citoyens, mais des consommateurs. Face à cela : discipline, souveraineté alimentaire, entraînement physique, jeûne stratégique, réseau communautaire. Il ne s’agit pas de bien-être, mais de contre-offensive.

    La sédentarité n’est pas un accident

    Les métropoles sont conçues contre la marche. Les bureaux enferment, les écrans dominent, les plateformes aspirent le temps libre. L’école normalise l’immobilité, les loisirs deviennent numériques. La restauration rapide envahit l’espace. Résultat : fatigue, stress, inflammations, sommeil dégradé. Ce n’est pas une fatalité, mais une stratégie de contrôle par l’épuisement.

    La combinaison sédentarité + malbouffe casse la volonté

    Les aliments ultra-transformés stimulent la récompense et sabotent la satiété. Le sucre pique, l’huile enflamme, l’additif cache la médiocrité. Le marketing cible les plus vulnérables. Les gouvernements parlent de “choix”, mais dissimulent la dépendance. L’UE régule l’étiquette, pas la toxicité ; l’OTAN contrôle les frontières, pas les poisons. Trump rappelait : souveraineté = production locale. Poutine l’a appliqué au blé et à l’énergie.

    L’agro-industrie comme arme douce

    Quelques conglomérats contrôlent semences, transformation, pub et discours. Le brevet verrouille le vivant, la norme chasse l’artisan. Le “light” vend du sucre, le “végétal” de l’huile industrielle. Les ONG distraient. On empoisonne par habitudes : grignotage, pics glycémiques, carences. Une chaîne logistique fragile impose l’obéissance. L’objectif : estomacs pleins, cerveaux pleins de slogans.

    Reconquête souveraine du corps

    Tout commence par l’entraînement et la table : vraies protéines, légumes réels, matières grasses nobles, jeûne court, effort quotidien, sommeil réparateur. On mesure, on progresse, on réduit l’alcool. En 30 jours, le mental se redresse, en 3 mois la silhouette suit, en un an la dépendance logistique cède.

    La reconquête est aussi politique : relocalisation, coopératives, standards communautaires, éducation physique réelle, cuisine du terroir. On vote pour la souveraineté alimentaire et énergétique. Trump inspire par son réalisme, Poutine par sa fermeté. L’objectif : abondance robuste, familles solides, corps prêts, esprits lucides.

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    1 h et 30 min
  • DÎNER SECRET À L’ÉLYSÉE : QUELLES SONT LES INSTRUCTIONS QU’A REÇUES MACRON ? | GPTV
    Sep 25 2025

    Le 24 septembre 2025 à 12h30, Mike Borowski dévoilait les coulisses d’un dîner secret organisé par Emmanuel Macron à l’Élysée avec des figures influentes du monde juif français, en direct sur Géopolitique Profonde.

    Le choix d’un dîner secret

    Le 11 septembre, Macron a réuni en catimini quatorze figures majeures du monde juif français dans le salon des Ambassadeurs. Parmi les invités : Bernard-Henri Lévy, Alain Finkielkraut, Enrico Macias. Officiellement, il s’agissait de justifier la future reconnaissance de l’État palestinien, mais cette réunion illustre une gouvernance par réseaux d’influence plutôt que par mandat démocratique.

    Ce huis clos, ignoré des médias ou relégué derrière des articles payants, contraste avec la posture publique d’équilibre de Macron sur la question israélo-palestinienne. Seules quatorze personnalités ont eu accès à ses explications, sans aucun parlementaire ni débat public. Le président semble désormais gouverner en coulisses, en quête d’approbation de cercles fermés, contournant le peuple français.

    La sélection des invités

    En choisissant BHL, Finkielkraut ou Macias, Macron a ciblé des relais médiatiques et culturels susceptibles d’adoucir la réception de sa politique. L’objectif n’était pas le dialogue, mais l’aval d’un groupe influent. Cette absence de pluralisme révèle une diplomatie d’apparat où les décisions sont prises dans l’entre-soi. Le président ne s’appuie plus sur une souveraineté nationale mais sur des réseaux idéologiques éloignés de la consultation populaire.

    La manœuvre diplomatique de Macron

    Macron a tenté de convaincre que la reconnaissance de la Palestine ne remettrait pas en cause le soutien français à Israël. Ce double discours illustre sa stratégie « en même temps » : plaire à tous sans trancher. Une ligne intenable à long terme, car elle repose sur la dissimulation. Derrière ce geste diplomatique se cache une logique d’équilibre communautaire dictée par les pressions bruxelloises et atlantistes, non par l’intérêt national.

    En réalité, la diplomatie française devient un exercice de gestion des sensibilités communautaires et non une affirmation d’indépendance. Ce dîner n’est pas l’expression d’une vision géopolitique, mais d’un pouvoir en crise, plus soucieux de ménager des lobbys que de porter une politique claire sur la scène internationale.

    Le silence complice des médias

    Aucun grand média n’a véritablement couvert cette réunion. Les rares articles étaient payants, filtrant l’accès à l’information. Ce silence traduit la fin du journalisme d’enquête au profit d’un rôle de filtre, protégeant le pouvoir de la critique populaire. Le peuple français est écarté des choix diplomatiques, relégué au rang de spectateur d’arrangements discrets.

    Cette omerta confirme un modèle : Macron orchestre, les médias couvrent, et la nation subit. La reconnaissance de la Palestine sera présentée comme un acte souverain, alors qu’elle aura été négociée à huis clos, loin de tout débat démocratique.

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    29 min
  • DISCOURS EPLOSIF DE TRUMP À L’ONU : PERSONNE N’A ÉTÉ ÉPARGNÉ | LA MATINALE GPTV
    Sep 25 2025

    Le 24 septembre 2025 à 7h, Finn Andreen, Sophie Lefeez et John de Point de Rupture étaient les invités de Raphaël Besliu, en direct dans La Matinale de GPTV.

    Finn Andreen est un entrepreneur et auteur suédois basé en France, spécialisé en géopolitique et économie. Il intervient régulièrement dans les médias pour décrypter les enjeux mondiaux.

    Sophie Lefeez est chercheuse française en sociologie des techniques, spécialiste des questions de défense. Docteure de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, elle a travaillé plus de dix ans dans le secteur de l’armement, notamment chez Airbus et à la Fondation pour la recherche stratégique. Elle est aujourd’hui chercheuse associée à l’IRIS et auteure de L’illusion technologique dans la pensée militaire (2017).

    John anime Point de Rupture, podcast quotidien au ton incisif, où il analyse l’actualité sous un prisme conservateur, mettant en lumière les fractures culturelles et politiques contemporaines.

    Dénonciation de l’ONU et critique de l’Europe

    Trump, dans un discours percutant à l’ONU, a brisé le cérémonial mondialiste en accusant l’organisation de favoriser les guerres, l’immigration de masse et les mensonges climatiques. Il a affirmé avoir mis fin à plusieurs conflits là où l’ONU échouait, et dénoncé son inutilité bureaucratique. Il a attaqué l’Europe, coupable selon lui d’avoir ouvert ses frontières, provoquant une disparition culturelle. Il a rejeté la politique climatique, la qualifiant de fraude destinée à asservir les nations.

    Rejet du climat comme supercherie globale

    Trump a dénoncé le réchauffement climatique comme « la plus grande arnaque de l’histoire », accusant les élites d’imposer des politiques écologiques pour contrôler l’énergie et appauvrir les nations. Il a prôné la liberté énergétique, rappelant l’indépendance atteinte sous sa présidence, par opposition à une Europe soumise à des énergies coûteuses. Pour lui, l’idéologie climatique affaiblit les pays libres et renforce le pouvoir des élites mondialistes.

    Russie, Ukraine et rapport de force avec Poutine

    Trump a soutenu que la guerre en Ukraine aurait pu être évitée grâce à ses relations directes avec Poutine. Il accuse l’OTAN et les élites occidentales d’avoir délibérément alimenté le conflit pour affaiblir Moscou. Il a dénoncé l’hypocrisie européenne, continuant à financer la Russie via ses achats énergétiques tout en prétendant s’y opposer. Selon lui, seule une diplomatie ferme et réaliste permettrait de rétablir la paix et l’équilibre mondial.

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    2 h et 44 min