Littérature et fiction

Quand Samantha accepte l’invitation à une soirée organisée par quatre filles un peu sinistres, elle plonge sans le savoir dans un monde inquiétant, entre le conte de fées et l’histoire d’horreur.

S'il existe un homme que la vendeuse et photographe amateur, Diane Petit, déteste plus que tout, c'est le grand fabricant de parfums, Sébastien Darcy, qui a non seulement volé l'entreprise du père de Diane, mais également détruit sa santé. Mais l'arrogant salaud ferait mieux de se méfier parce que Diane prépare sa vengeance. Et la vengeance est un plat qui se mange froid. Mon meilleur ennemi est une comédie romantique inspirée de Orgueil et préjugés.

"Tu fais quoi à Noël ? - Moi je me suicide, et toi ?" Bien sûr, dit comme ça, ça peut paraître sinistre, mais, à quarante-cinq ans, c'est ma meilleure option. Ce n'est pas comme si je faisais des malheureux autour de moi. Comme si j'abandonnais mari et enfants. Je n'ai ni chien ni chat. Même pas un perroquet pour me pleurer. Et puis ça me laisse deux mois pour faire connaissance avec mon vrai moi. Deux mois c'est court. Ou long, ça dépend de ce qui se passe, en fait.

L'été́ de mes dix-huit ans devait être le meilleur de toute ma vie. J'avais réussi à décrocher un job bien payé qui allait me permettre de remplacer ma vieille voiture et de mettre de l'argent de côté avant de rentrer à la fac. Tout était censé bien se passer. J'avais tout calculé. Et puis je l'ai rencontré́, lui. Aleks Pierson. Le fils de mes patrons. Ce qu'il y avait entre nous était beau, fort, absolument bouleversant. Notre idylle aurait pu être mon histoire de cendrillon, celle qui se finit avec un " ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants ".

2015 prend la Porte - Le calendrier de l'avent : 1er décembre 2015. Le journaliste et humoriste Didier Porte revient sur les événements de la première quinzaine de janvier 2015 de son ton impertinent et inimitable. L'actualité des premières semaines de 2015 fut bien sûr dominée par l'attentat contre Charlie Hebdo et les nombreuses réactions en France et à l'étranger. Didier Porte chronique les événements avec sa verve légendaire.

Après le succès de "Celle qui a dit fuck". Moi, c'est Alice. Maman, working girl, épouse, sœur, copine, GO (grincheuse organisatrice), taxi, infirmière, mouchoir géant... Ma vie ressemble à celle d'une super woman, les strass, les paillettes et la reconnaissance en moins. Telle une funambule sur le fil de la vie, j'essaye de trouver l'équilibre entre mon boulot (aussi éprouvant qu'un épisode de Game of Thrones), mes filles, que j'aime plus que tout au monde (surtout le lundi, le mardi, le jeudi et le vendredi, quand elles sont à l'école).

Max, un petit gars de banlieue, conducteur grutier à la fourrière, vient d'enlever une voiture sur un emplacement livraison. C'est alors qu'il découvre, sur la banquette arrière, une vieille dame. Faute professionnelle qui risque de causer son renvoi... D'autant plus qu'il la reconnaît : c'est la chef d'entreprise Madeleine Lamor, héroïne de la Résistance, dont la tête orne ses paquets de galettes bretonnes. En pleine crise de confusion mentale, elle le prend pour son amant de 1944 traqué par la Gestapo.

La presse à scandale va s'en donner à cœur joie. Moi, le Diable des Forty Niners, moi, le meilleur et le plus arrogant des quarterbacks de ma génération, je suis cantonné sur le banc de touche. Blessé juste avant les play-offs, je n'ai pas le choix, je dois regarder mes coéquipiers jouer sans moi. Et comme si ça ne suffisait pas, la direction des Niners me colle une "nounou" dans les pattes. Pourquoi ? Pour éviter que je fasse des bêtises.

Alors qu’un typhon menace la baie de Hong Kong, la brigade policière de Jackie Thran encercle la cave à vin la plus sécurisée du monde, installée dans d’anciens bunkers de l’armée britannique. Un trio de braqueuses, aux agissements excentriques, s’y est infiltré et retient en otage l’impressionnant stock de M. Coetzer, estimé à trois cent cinquante millions de dollars…Revisitant avec brio les codes du film de braquage, Céline Minard signe un roman drôle et explosif, où la subversion se mêle à l’ivresse.

Succès phénoménal aux Pays-Bas, alliance détonante d'une comédie de mœurs à l'humour ravageur et d'un roman noir à la tension implacable, "Le Dîner" dresse le portrait de notre société en pleine crise morale. Deux frères se donnent rendez-vous avec leurs épouses dans un restaurant branché d'Amsterdam.

Le nouveau phénomène de l'humour vient de Berlin-Est... Et c'est un kangourou ! Un jour, Marc-Uwe Kling voit débarquer chez lui un kangourou sans gêne. Communiste et chômeur, le marsupial vide le réfrigérateur et refuse de payer un loyer. Surtout, il entraîne le narrateur - souvent contre son gré - dans des conversations à bâtons rompus brassant tous les sujets, du totalitarisme des marchands de soupe en sachet aux tatouages de Robbie Williams. Difficile à la lecture de savoir qui des deux protagonistes montre le plus de mauvais esprit.

Dans la veine du Dîner, une comédie noire au suspense redoutable où il est question - entre autres - des affres de la vie conjugale, de la disparition d'un chat, de préjugés racistes, d'un François Hollande en goguette, de la finitude de l'univers, de tri des déchets... le tout sur fond de satire sociale acerbe. Maire d'Amsterdam, aimé du petit personnel et respecté des puissants de ce monde, époux comblé, heureux père d'une adolescente, Robert peut savourer pleinement le sentiment d'une vie accomplie.